Le changement climatique, une réalité en Martinique également
Par Karl LORAND
25/11/2015 - 13:13
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:28
Martinique
Le changement climatique est également devenu une réalité en Martinique. Les élèves éco-responsables de l’enseignement agricole se mobilisent pour le climat ! Dans cette optique ils se sont réunis à l’Institut Martiniquais du Sport à Mangot Vulcin, hier mardi à la demande du ministère de l’agriculture.
Plusieurs conférences animées par différents intervenants ont présenté ce
mardi les enjeux de la COP 21. Le rôle important de l’agriculture
et la forêt dans les réponses aux réductions des émissions de gaz à effet
de serre a également été évoqué.
Les chantiers de recherches sont encore vastes; le plan agriculture innovations 2025 - lancé par les ministres de l’agriculture et de l’enseignement supérieur et de la recherche - tombe à pic. C’est aujourd’hui une agriculture technologique, productive et maitrisée qui peut tenir ce rôle. Chez nous, afin de lutter contre le dérèglement climatique, il est important que les enseignants des écoles agricoles transmettent dès à présent les outils qui permettront demain de faire face à un climat plus sec.
Pour Hervé Lejeune, inspecteur général au ministère de l'agriculture, il faut "adapter les systèmes culturaux, travailler sur des modes d'irrigation différents, moins consommateurs d'eau... toute une série de choses que les apprenants des écoles d'agriculture doivent intégrer pour former les agriculteurs de demain".
Audrey Ollon et Pascal Michaux
Les chantiers de recherches sont encore vastes; le plan agriculture innovations 2025 - lancé par les ministres de l’agriculture et de l’enseignement supérieur et de la recherche - tombe à pic. C’est aujourd’hui une agriculture technologique, productive et maitrisée qui peut tenir ce rôle. Chez nous, afin de lutter contre le dérèglement climatique, il est important que les enseignants des écoles agricoles transmettent dès à présent les outils qui permettront demain de faire face à un climat plus sec.
Pour Hervé Lejeune, inspecteur général au ministère de l'agriculture, il faut "adapter les systèmes culturaux, travailler sur des modes d'irrigation différents, moins consommateurs d'eau... toute une série de choses que les apprenants des écoles d'agriculture doivent intégrer pour former les agriculteurs de demain".
Audrey Ollon et Pascal Michaux
