Richard Albert n’est plus le président de l’OTI de la CARL
Ce lundi (6 octobre), le conseil communautaire de la CARL a enfin pu se tenir, avec à l’ordre du jour 4 points concernant l’OTI (office de tourisme intercommunal) de la CARL. Parmi eux figuraient la modification de la composition du comité de direction de l’OTI et le retrait de la présidence à Richard Albert.
Le débat sur la situation à l’OTI (office de tourisme intercommunal) de la CARL a enfin pu se tenir ce lundi matin (6 octobre), à la mairie de Saint-François.
Les conseillers communautaires étaient bien plus nombreux autour de la table, même si, une nouvelle fois, Richard Albert, le président de l’OTI, n'était pas là.
Ce dernier absent pour raison professionnelle avait donné procuration et a fait savoir qu’il n’était pas démissionnaire et qu’il souhaitait assurer sa mission jusqu’à la fin de son mandat.
Pour autant, pour le président de la CARL, Loïc Tonton, il y a eu manquement du côté des élus membres du comité de direction de l’OTI, et notamment de son président Richard Albert.
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18 voix pour, 14 contre
C’est pour cela que le retrait de ce dernier, mais aussi de Nicole Sinivassin, 3ème vice-président de la CARL et membre du comité directeur de l'OTI, et a été proposé au conseil communautaire et approuvé par 18 voix pour, 14 contre et 2 abstentions.
Notez que l’opposition qui a majoritairement voté contre a regretté une décision trop rapide faute d’élément supplémentaire, et de transparence, des audits étant en cours.
« Nous avons eu le sentiment que c’était fait sur fond de règlement de comptes », nous a confié Jocelyne Virolan. L’idée de changer tout le conseil a aussi été évoquée par l’opposition.
Convocation
Désormais il faudra attendre la convocation de ce nouveau comité de direction de l’OTI pour désigner un nouveau président de ce satellite de la CARL.
Un ou une présidente qui aura la lourde tâche d’agir concrètement pour faire cesser les manquements et remettre de l’ordre la gestion de l’office de tourisme intercommunal.
Cela pourrait commencer par une éventuelle suspension de la directrice, Patricia Azor, dont les méthodes de management sont pointées du doigt.
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