Affaire Young Chang MC : les accusés avaient-ils l'intention de tuer ?
Par Anaelle EDOM
27/10/2016 - 23:25
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:18
Guadeloupe
Mis à jour le 27/10/2016 à 17h25 - Au quatrième jour du procès de Young Chang Mc, la cour d'appel de Meurthe-et-Moselle cherche à définir si les accusés étaient animés par une volonté de tuer.
Ce jeudi 27 octobre 2016, la cour d'assises d'appel de Meurthe-et-Moselle
s'est penchée sur les circontances dans lesquels le drame a eu lieu.
Les accusés avaient-ils l'intention de tuer ? C'est l'un des enjeux de ce procès, les accusés ayant reconnu les faits qu'ils leur sont reprochés.
Pour sa part, la défense entend faire requalifier les actes de barbarie qui sont reprochées à leurs clients en violences volontaires.
En attendant le réquisitoire de l'avocat général, des experts psychologues devaient être entendus ce vendredi pour tenter de définir la personnalité des accusés.
Le verdict devrait être rendu vendredi 28 octobre. Yoni Sama alias Young Chang Mc, son manageur, Jean-Marc Coudrey et leur homme de confiance, Maverick Montout encourent la réclusion criminelle à perpétuité en raison d'actes de barbarie entre autres.
Pour mémoire, on reproche aux accusés d'avoir torturé un homme et séquestré une femme ainsi que son enfant pour récupérer l'équivalent de 50 000 euros en drogue ou en argent liquide.
Les accusés avaient-ils l'intention de tuer ? C'est l'un des enjeux de ce procès, les accusés ayant reconnu les faits qu'ils leur sont reprochés.
Pour sa part, la défense entend faire requalifier les actes de barbarie qui sont reprochées à leurs clients en violences volontaires.
En attendant le réquisitoire de l'avocat général, des experts psychologues devaient être entendus ce vendredi pour tenter de définir la personnalité des accusés.
Le verdict devrait être rendu vendredi 28 octobre. Yoni Sama alias Young Chang Mc, son manageur, Jean-Marc Coudrey et leur homme de confiance, Maverick Montout encourent la réclusion criminelle à perpétuité en raison d'actes de barbarie entre autres.
Pour mémoire, on reproche aux accusés d'avoir torturé un homme et séquestré une femme ainsi que son enfant pour récupérer l'équivalent de 50 000 euros en drogue ou en argent liquide.
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