Judo : Loïc Korval pourra défendre son titre européen à Bakou
Par Anaelle EDOM
07/04/2015 - 15:37
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:37
Antilles
Suspendu 10 mois pour manquements aux règles de localisation antidopage, la Fédération française de judo (FFJDA) lève mardi 7 avril la sanction du judoka Loïc Korval.
Bonne nouvelle pour Loïc
Korval. Le judoka de 26 ans pourra défendre son titre européen à
Bakou. Des jeux qui feront office de championnat continental en judo après
l'annulation des championnats de Glasgow. Suspendu 10 mois pour 3
manquements aux règles de localisation antidopage par l'Agence
française de lutte contre le dopage (ALDF), le
comité de sélection de la Fédération française (FFJDA)
a levé mardi 7 avril la suspension du sportif avant son terme fixé au 22
août 2015. Le judoka a
annoncé cette nouvelle sur le réseaux social Facebook en n'oubliant pas de
remercier la FFJDA.
Dans un entretien accordé au journaliste et Blogueur Florent Bouteiller, Loïc Korval donne des explications franches sur cette situation : "On me croyait enterré, et encore une fois, je prouve que c'est faux. Mon image a été entachée par des soupçons de dopage alors qu'en fait je n'ai eu que des problèmes administratifs avec l'AFLD". Le sportif souligne également les défaillances de la ALFD."Nous, athlètes, notre boulot, c'est d'être performants. Ils nous reprochent de ne pas être professionnels, de ne pas être carrés au niveau administratif alors qu'administrativement parlant, ils font eux aussi des erreurs. Ils nous envoient des contrôleurs qui ne sont pas agrées et leurs logiciels sont défaillants".
Anaëlle Edom
Dans un entretien accordé au journaliste et Blogueur Florent Bouteiller, Loïc Korval donne des explications franches sur cette situation : "On me croyait enterré, et encore une fois, je prouve que c'est faux. Mon image a été entachée par des soupçons de dopage alors qu'en fait je n'ai eu que des problèmes administratifs avec l'AFLD". Le sportif souligne également les défaillances de la ALFD."Nous, athlètes, notre boulot, c'est d'être performants. Ils nous reprochent de ne pas être professionnels, de ne pas être carrés au niveau administratif alors qu'administrativement parlant, ils font eux aussi des erreurs. Ils nous envoient des contrôleurs qui ne sont pas agrées et leurs logiciels sont défaillants".
Anaëlle Edom