« God Bless », les confidences du chanteur Krys sur le tube des vacances
Le dernier single de Krys, « God Bless », est incontestablement le tube des vacances. En direct hier (mercredi 21 août), dans notre journal de 13 heures, le chanteur est revenu sur la genèse de ce titre et les émotions qu’il procure.
God Bless de Krys, c’est le tube des vacances. Difficile de passer à côté du refrain et de cet air entraînant.
Le chanteur, auteur-interprète et producteur marque ses 20 années de carrière avec cette chanson qui est sur toutes les lèvres.
« Ah la vie qu’on mène ! Vraiment ouah, j’adore… » Krys est venu nous parler de ce titre remplie de joie dans notre journal de 13 heures, hier (mercredi 21 août).
Quand j’ai composé et écrit ce titre, j’étais très content de cette chanson, qui porte à sourire, qui est chargée en émotions, de joie, de lâcher prise. Comme je dis souvent, les artistes proposent un morceau et c’est le public qui décide ce que va devenir le titre. Et là, je vais de bonnes surprises en bonnes surprises avec cette chanson. J’ai l’impression que le public ressent la joie dans laquelle elle a été écrite.
Krys trouve qu’il y a quelque chose de noble dans le fait de divertir les gens.
La vie est déjà suffisamment compliquée comme ça. Il y a des artistes pour tout. Il y a des artistes qui écrivent des textes conscients, des textes mélancoliques. Ça m’est déjà arrivé de le faire aussi. Mais j’avoue, j’aime beaucoup de côté joyeux et divertissant.
« Un coup de foudre »
Le chanteur est revenu sur l’histoire de ce tube entraînant et chaloupé.
Un jeune compositeur qui s’appelle YSN m’a envoyé l’instrumental et dès que j’ai entendu les premières notes, j’ai tout de suite eu un coup de foudre pour le morceau. Il est entraînant, il est chaloupé. L’idée du texte est arrivée tout de suite, spontanément. C’est quelque chose qui est sorti d’une traite. A chaque phrase qui me venait sur la chanson j’avais le sourire. C’est une réelle inspiration.
Chanteur et producteur
Krys, c’est un chanteur, mais aussi un producteur qui passe de l’ombre à la lumière sans soucis.
Il ne faut pas avoir peur d’être derrière un artiste. Quand j’ai produit mon cousin, Colonel Reyel, et qu’il était disque d’or et disque de platine, et bien moi j’étais en back stage, comme une petite fourmi en train de faire le travail pour qu’il puisse évoluer en tant qu’artiste. Ou encore, quand je travaillais sur les albums de Misé Sadik, mon ami frère, il fallait aussi savoir se mettre derrière et l’accompagner dans la production de son album et dans l’évolution de sa carrière. Ce qui m’a aidé et ce qui m’aide encore, c’est d’aimer les deux rôles, que ce soit celui d’accompagnateur ou bien d’artiste.