Saint-Valentin : les cadenas de l’amour du phare de la Caravelle
Par Jean-Philippe LUDON, @jpludonrci
14/02/2015 - 13:50
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:39
Martinique
Phénomène planétaire, le rituel des cadenas de l’amour a également atteint les rives de la Martinique. Le saviez-vous ? Certes, on est loin de l’engouement des amoureux pour le pont des Arts à Paris ou dans d’autres villes mythiques. En cette Saint-Valentin, si vous êtes amoureux de la randonnée et/ou simplement amoureux, vous l’aurez certainement constaté en grimpant jusqu’à la table d’orientation du phare de la Caravelle à Tartane-Trinité (Martinique), ils sont là….Oui. Observez-bien….
….Et de prime abord, ils sont à peine visibles.
Et puis, sous les premiers rayons du soleil matinal, un reflet. Tiens, un cadenas ! Bizarre ! Puis un second reflet, là, sous la rambarde à gauche, accroché à une tige métallique, avec en toile de fond un camaïeu de verdure d’où se détachent les ruines du Château-Dubuc. Un autre cadenas. Un cadenas de l’amour.
Et puis, un flash qui vous traverse l’esprit. Paris, la Seine. Le pont des Arts. Des amoureux par tous les temps. En toute saison. Ils accrochent à la rambarde un cadenas. Il va sceller un amour naissant ou renforcer un lien déjà bien fort. Il y en a des milliers et des milliers.
Un jeune homme intrigué. Il s’appelle Alexis. Il en a photographié 40 000 voire plus. Pour la postérité ? Il est vrai qu’il y a quelques mois, sous le poids de ces lourds cadenas de l’amour, tout un pan s’est retrouvé quelques mètres plus bas. Pour la mairie de Paris, il y a danger. Des plaques de contreplaqué ont été posées pour ne pas en rajouter.
Pas en reste, Orange, l’opérateur téléphonique, en guise de clin d’œil à la Saint-Valentin surfe aujourd’hui sur ce phénomène amoureux. Les marques d’amour ne doivent pas mourir. D’où l’idée de les numériser en lançant l’opération « relocklove ».
Et puis, sous les premiers rayons du soleil matinal, un reflet. Tiens, un cadenas ! Bizarre ! Puis un second reflet, là, sous la rambarde à gauche, accroché à une tige métallique, avec en toile de fond un camaïeu de verdure d’où se détachent les ruines du Château-Dubuc. Un autre cadenas. Un cadenas de l’amour.
Et puis, un flash qui vous traverse l’esprit. Paris, la Seine. Le pont des Arts. Des amoureux par tous les temps. En toute saison. Ils accrochent à la rambarde un cadenas. Il va sceller un amour naissant ou renforcer un lien déjà bien fort. Il y en a des milliers et des milliers.
Un jeune homme intrigué. Il s’appelle Alexis. Il en a photographié 40 000 voire plus. Pour la postérité ? Il est vrai qu’il y a quelques mois, sous le poids de ces lourds cadenas de l’amour, tout un pan s’est retrouvé quelques mètres plus bas. Pour la mairie de Paris, il y a danger. Des plaques de contreplaqué ont été posées pour ne pas en rajouter.
Pas en reste, Orange, l’opérateur téléphonique, en guise de clin d’œil à la Saint-Valentin surfe aujourd’hui sur ce phénomène amoureux. Les marques d’amour ne doivent pas mourir. D’où l’idée de les numériser en lançant l’opération « relocklove ».
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