[DOSSIER 4/5] Hibiscus Records, le temps des épreuves
On ouvre un nouveau volet de notre série spéciale consacrée à Hibiscus Records. Dans ce quatrième épisode, le label martiniquais affronte de grandes difficultés. Pour Marilène Mauriello et pour les artistes du label, c’est la fin d’une ère.
L’histoire d’Hibiscus Records, ce n’est pas seulement celle des succès et des grandes heures de la musique antillaise. C’est aussi une traversée semée d’épreuves.
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Dans ce quatrième épisode, nous revenons sur l’effondrement du marché du disque qui a bouleversé toute une industrie et précipité le déclin du label.
La fin des ventes massives de CD, les licenciements douloureux, la fermeture du studio, la disparition de Jean-Michel Mauriello…
« La fin d’une ère »
Pour Marilène Mauriello et pour les artistes comme Kali, Suzy Trébeau ou bien d’autres, c’est la fin d’une ère et le sentiment amer d’avoir tout donné.
Suzy Trébeau se souvient de cette période difficile.
Il y a eu des hauts et des bas. Ça fait partie de la vie d’artiste. Il y en a qu’on a pu surmonter parce qu’on avait la rage et puis il y en a ou, au bout d’un moment, tu te dis que tu es là depuis des années, que tu as tout donné. Mais ce n’était pas seulement par rapport à la maison de disque. C’était aussi, petit à petit, la fin d’une ère. Ma génération, on a tout connu, la mort du vinyle, etc. C’était, je pense, le commencement du changement.
A ECOUTER Le reportage d’Erika Govindoorazoo (épisode 4 sur 5) – Le temps des épreuves
La fin d’une ère, mais le début d’autre chose. Le label se réinvente, vous l’entendrez dans le 5ème et dernier volet de cette série spéciale Hibiscus Records
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