ATTENTATS DE PARIS : Pascal, aide soignant à la Pitié-Salpêtrière parle d’une situation de guerre
Par Anaelle EDOM
16/11/2015 - 17:25
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:28
Guadeloupe
TEMOIGNAGE - Suite aux attentats qui ont été perpétrés le samedi 13 novembre, l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière a accueilli de nombreux blessés. Sur les ondes de RCI Guadeloupe, Pascal, antillais, employé de ce centre hospitalier a décrit une situation pleine d’effroi.
(TEMOIGNAGE-AUDIO)
Ce lundi 16 novembre 2015, Pascal, aide soignant à l’hôpital, antillais, de la Pitié-Salpêtrière est revenu sur la prise en charge des victimes des attentats perpétrés à Paris.
"On n’a pas l’habitude de voir cela (…) C’était la guerre. Il y avait énormément de blessés par balle ou des gens blessés psychologiquement", a-t-il indiqué, ce lundi, sur les ondes de RCI Guadeloupe."Les victimes sont encore sous le choc", a ajouté l’aide soignant.
La mobilisation a été générale à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, ont indiqué plusieurs médias de l’hexagone dès le samedi 14 novembre 2015.
Il fallait coûte que coûte faire face et apporter les soins nécessaires aux victimes. Une cellule psychologique a également été mise en place, au sein du centre hospitalier, pour accueillir les familles des victimes.
Ce lundi 16 novembre 2015, Pascal, aide soignant à l’hôpital, antillais, de la Pitié-Salpêtrière est revenu sur la prise en charge des victimes des attentats perpétrés à Paris.
"On n’a pas l’habitude de voir cela (…) C’était la guerre. Il y avait énormément de blessés par balle ou des gens blessés psychologiquement", a-t-il indiqué, ce lundi, sur les ondes de RCI Guadeloupe."Les victimes sont encore sous le choc", a ajouté l’aide soignant.
La mobilisation a été générale à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, ont indiqué plusieurs médias de l’hexagone dès le samedi 14 novembre 2015.
Il fallait coûte que coûte faire face et apporter les soins nécessaires aux victimes. Une cellule psychologique a également été mise en place, au sein du centre hospitalier, pour accueillir les familles des victimes.
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