Les syndicats appellent à la grève générale
Par Anaelle EDOM
03/05/2016 - 17:14
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:21
Guadeloupe
Après leur mobilisation du 1er mai 2016 à Saint-François, les syndicats entendent visiblement maintenir la pression. Ils annoncent une grève générale dans notre département à la date du 12 mai 2016. Un mot d'ordre valant aussi bien pour le public que pour le privé.
La mobilisation du 1er mai 2016 n'était vraisemblablement qu'une première
étape pour les organisations syndicales qui ont défilé dans les rues
guadeloupéennes à cette date.
La Confédération Générale des Travailleurs Guadeloupéens (CGTG), Force Ouvrière (FO), Solidaire, la Fédération Syndicale Unitaire (FSU), Sud PTT, l'Union Générale des Travailleurs Guadeloupéens (UTGG) et l'Union Nationale des Syndicats Autonomes (UNSA) ont décidé de frapper un grand coup le 12 mai 2016.
Ces organisations syndicales semblent vouloir montrer leur détermination et leur volonté d'engager un bras de fer aussi bien avec le patronat qu'avec l'Etat, d'où ce mot d'ordre de grève générale dans les secteurs public et privé.
Elles souhaitent également l'élargir ce mouvement aux jeunes, aux demandeurs d'emplois et aux retraités.
Dans un document transmis aux médias locaux pour expliquer leur démarche, ces syndicats dénoncent en fait des attaques concertées et réfléchies ayant pour ambition "de réduire les droits des travailleurs pour augmenter les profits patronaux".
Ils ont également invité les élus "à s'impliquer dans le développement économique, dans la problématique du chômage et la situation dramatique de la jeunesse plutôt que de distribuer des subventions sans aucun contrôle".
Le document fait aussi mention de la mobilisation Lyannaj Kont Profitasyon (LKP) de 2009 et de ce qui a été obtenu grâce à ces 44 jours de grève générale.
Il n'y a donc qu'un pas pour y voir une volonté implicite de ces organisations syndicales à prendre la même voie. Ce mercredi 4 mai, elles en diront vraisemblablement plus sur leur intentions lors d'une conférence de presse.
Mais, leurs revendications sont d'ores et déjà connues : le retrait de la loi Travail, l'accès des jeunes à la formation et à l'emploi, l'arrêt des suppressions de poste, la création d'emplois supplémentaires dans les hôpitaux publics et dans l'éducation nationale, le libre exercice du droit syndical.
L'objectif est donc de ratisser le plus large possible pour provoquer un rassemblement massif. Le point de ralliement : le Palais de la Mutualité à Pointe-à-Pitre.
La Confédération Générale des Travailleurs Guadeloupéens (CGTG), Force Ouvrière (FO), Solidaire, la Fédération Syndicale Unitaire (FSU), Sud PTT, l'Union Générale des Travailleurs Guadeloupéens (UTGG) et l'Union Nationale des Syndicats Autonomes (UNSA) ont décidé de frapper un grand coup le 12 mai 2016.
Ces organisations syndicales semblent vouloir montrer leur détermination et leur volonté d'engager un bras de fer aussi bien avec le patronat qu'avec l'Etat, d'où ce mot d'ordre de grève générale dans les secteurs public et privé.
Elles souhaitent également l'élargir ce mouvement aux jeunes, aux demandeurs d'emplois et aux retraités.
Dans un document transmis aux médias locaux pour expliquer leur démarche, ces syndicats dénoncent en fait des attaques concertées et réfléchies ayant pour ambition "de réduire les droits des travailleurs pour augmenter les profits patronaux".
Ils ont également invité les élus "à s'impliquer dans le développement économique, dans la problématique du chômage et la situation dramatique de la jeunesse plutôt que de distribuer des subventions sans aucun contrôle".
Le document fait aussi mention de la mobilisation Lyannaj Kont Profitasyon (LKP) de 2009 et de ce qui a été obtenu grâce à ces 44 jours de grève générale.
Il n'y a donc qu'un pas pour y voir une volonté implicite de ces organisations syndicales à prendre la même voie. Ce mercredi 4 mai, elles en diront vraisemblablement plus sur leur intentions lors d'une conférence de presse.
Mais, leurs revendications sont d'ores et déjà connues : le retrait de la loi Travail, l'accès des jeunes à la formation et à l'emploi, l'arrêt des suppressions de poste, la création d'emplois supplémentaires dans les hôpitaux publics et dans l'éducation nationale, le libre exercice du droit syndical.
L'objectif est donc de ratisser le plus large possible pour provoquer un rassemblement massif. Le point de ralliement : le Palais de la Mutualité à Pointe-à-Pitre.
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