L'UMIH vole au secours des professionnels sinistrés de Saint-François
Quarante-huit heures après l’incendie qui a ravagé la marina de Saint-François, emportant cinq restaurants et deux boutiques, l’émotion reste vive. En attendant que l'enquête établisse les circonstances du sinistre, l'union des métiers de l'hôtellerie et de la restauration (UMIH)
Alors que l’enquête sur l’origine du sinistre s’annonce longue, les conséquences économiques et sociales risquent d'être lourdes pour les restaurateurs sinistrés et leurs salariés.
Dans ce contexte, l’UMIH a annoncé son engagement à leurs côtés. Sa présidente en Guadeloupe, Catherine Cadrot, insiste sur l’importance d’un accompagnement rapide et concret pour aider les entreprises à rebondir.
L’Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière, apporte tout son soutien à ces restaurateurs et à ces commerçants à qui cette épreuve arrive à un très mauvais moment, en plein début de saison. Nous avons la possibilité, avec les services juridiques de l’UMIH nationale, ainsi qu’avec les assureurs de Guadeloupe et les pouvoirs publics, de les accompagner dans toutes les démarches à entreprendre. L’enjeu principal reste la préservation de l’emploi et du pouvoir d’achat des salariés. Des dispositifs existent, comme le chômage partiel via France Travail, et nous serons à leurs côtés pour faciliter l’accès à un maximum d’aides et d’accompagnements financiers, qu'ils soient adhérents à l'UMIH ou pas.
Au-delà du soutien moral, l’UMIH entend jouer un rôle d’interface entre les sinistrés et les différents partenaires institutionnels, juridiques et assurantiels. Un relais précieux dans une période où chaque démarche peut s’avérer déterminante pour la survie des entreprises.
Alors que la haute saison touristique approche et que la marina, cette mobilisation collective entend limiter l’impact économique et préserver les emplois.
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