L'hommage de Carrières-sous-Poissy à Clarissa Jean-Philippe
Par Aline DRUELLE
19/01/2015 - 14:38
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:40
Antilles
La ville des Yvelines où résidait la victime d'Amedy Coulibaly et son compagnon a rendu hommage à la jeune femme.
On a peu parlé de cette commune mais depuis la fusillade de Montrouge et
la mort de Clarissa Jean-Philippe, Carrières-sous-Poissy est sous le choc.
C'est là, dans les Yvelines, que résidait depuis deux ans la policière
municipale et son compagnon.
Vendredi, les élus et personnalités du département se sont rassemblés pour des voeux à la tonalité particulière en raison du drame. Le maire de Carrières-sous-Poissy Christophe Delrieu a rendhu hommage à celle qui "habitait le quartier du bord de Seine" où "elle aimait faire du footing" et qui "avait postulé à la police municipale de Carrières avant de rejoindre celle de Montrouge". Présent, le président du Sénat Gérard Larcher s'est indigné, se demandant "quel degré de lâcheté faut-il atteindre pour déclencher un tel déluge de violence, soit disant au nom de Dieu".
Dimanche après-midi, c'est un rassemblement républicain qui était organisé dans la ville, auquel toute la population était conviée pour se souvenir de Clarissa mais aussi de toutes les victimes des attaques perpétrées par les frères Kouachi et Amedy Coulibably. Plus de 700 personnes ont fait le déplacement.
Vendredi, les élus et personnalités du département se sont rassemblés pour des voeux à la tonalité particulière en raison du drame. Le maire de Carrières-sous-Poissy Christophe Delrieu a rendhu hommage à celle qui "habitait le quartier du bord de Seine" où "elle aimait faire du footing" et qui "avait postulé à la police municipale de Carrières avant de rejoindre celle de Montrouge". Présent, le président du Sénat Gérard Larcher s'est indigné, se demandant "quel degré de lâcheté faut-il atteindre pour déclencher un tel déluge de violence, soit disant au nom de Dieu".
Dimanche après-midi, c'est un rassemblement républicain qui était organisé dans la ville, auquel toute la population était conviée pour se souvenir de Clarissa mais aussi de toutes les victimes des attaques perpétrées par les frères Kouachi et Amedy Coulibably. Plus de 700 personnes ont fait le déplacement.
