Basse-Terre a voté le Budget Primitif 2015
Par Anaelle EDOM
29/04/2015 - 14:13
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:36
Guadeloupe
Le conseil municipal de Basse-Terre a voté le compte administratif et le budget primitif 2015 mardi 28 avril. Néanmoins, l'opposition a déploré un manque d'anticipation de la part de la majorité sur les choix d'investissement.
Après avoir annoncé en amont du conseil municipal le déficit de
Basse-Terre, Marie-Luce Penchard s’est livrée mardi 28 avril à un exercice
de transparence sur les données budgétaires. Le maire du chef-lieu a
également obtenu l’appui de sa majorité. Il n'a pas manqué une seule voix
pour faire voter le Compte Administratif 2014 et le Budget Primitif 2015
(27 voix pour et 5 contre).
La pression fiscale
"Je ferais tout pour que la pression fiscale n’augmente pas à Basse-Terre", a précisé Marie Luce-Penchard. Derrière cet engagement le maire du chef-lieu appelle à l’union afin d’interpeller l’Etat. Son but : indiquer l’impossibilité pour la Guadeloupe ou encore pour les collectivités d’Outremer de supporter une baisse de dotations.
Un souci de clarification et de clarté
"Lorsque j’émets une critique il faut la majorité municipale comprenne que c’est dans un souci de clarification et de clarté", a formulé André Attalah, membre de l’opposition. Selon lui, il n’a pas eu de concertation entre la municipalité, la collectivité régionale et l’Etat lorsque de gros investissements ont été établis. Cela expliquerait le manque de recettes.
Anaëlle Edom
La pression fiscale
"Je ferais tout pour que la pression fiscale n’augmente pas à Basse-Terre", a précisé Marie Luce-Penchard. Derrière cet engagement le maire du chef-lieu appelle à l’union afin d’interpeller l’Etat. Son but : indiquer l’impossibilité pour la Guadeloupe ou encore pour les collectivités d’Outremer de supporter une baisse de dotations.
Un souci de clarification et de clarté
"Lorsque j’émets une critique il faut la majorité municipale comprenne que c’est dans un souci de clarification et de clarté", a formulé André Attalah, membre de l’opposition. Selon lui, il n’a pas eu de concertation entre la municipalité, la collectivité régionale et l’Etat lorsque de gros investissements ont été établis. Cela expliquerait le manque de recettes.
Anaëlle Edom