La destruction de plus d'une tonne de Lambis fait polémique
Par Xavier CHEVALIER
05/10/2015 - 17:22
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:30
Martinique
Il y a quelques jours, une quantité importante de lambis mais aussi plusieurs kg de poisson on été saisis par les autorités. L’intégralité de cette prise a été détruite. Cette décision engendre colère et incompréhension.
La nouvelle a suscité beaucoup de réactions sur les réseaux sociaux. De
nombreux internautes se sont indignés de la destruction d’une tonne 5 de
lambis avarié, illégalement importé en Martinique. Pour beaucoup, la
nourriture aurait du être donnée aux plus nécessiteux.
Le chef du service alimentation de la Direction de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Foret (DAAF) rappel que : « la nourriture était impropre à la consommation. Transportée en fond de cale, sans système de réfrigération, elle aurait représenté un risque pour les consommateurs. ».
La Présidente départementale de l’association Saint Vincent de Paul, Jacqueline Brestler abonde en ce sens : « Nous de notre coté, nous avons passé un accord en novembre dernier avec la direction de la mer. Il y avait un représentant de la DAAF pour ce qui est de la traçabilité et de l’hygiène éventuelle des saisies. Donc si on ne nous a pas appelé, c’est parce que ce n’était pas comestible.
Quand c’est propre à la consommation, on nous appelle, quand nous savons que c’est bon pour la consommation Quand on arrive, on vient avec des véhicules adéquates et il est délivré un procès verbale qui nous donne l’autorisation et qui dit que nous l’avons obtenu, tout cela car c’est bon et que c’est dans les règles de l’art ».
Xavier Chevalier et Peggy Saint-Ville
Le chef du service alimentation de la Direction de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Foret (DAAF) rappel que : « la nourriture était impropre à la consommation. Transportée en fond de cale, sans système de réfrigération, elle aurait représenté un risque pour les consommateurs. ».
La Présidente départementale de l’association Saint Vincent de Paul, Jacqueline Brestler abonde en ce sens : « Nous de notre coté, nous avons passé un accord en novembre dernier avec la direction de la mer. Il y avait un représentant de la DAAF pour ce qui est de la traçabilité et de l’hygiène éventuelle des saisies. Donc si on ne nous a pas appelé, c’est parce que ce n’était pas comestible.
Quand c’est propre à la consommation, on nous appelle, quand nous savons que c’est bon pour la consommation Quand on arrive, on vient avec des véhicules adéquates et il est délivré un procès verbale qui nous donne l’autorisation et qui dit que nous l’avons obtenu, tout cela car c’est bon et que c’est dans les règles de l’art ».
Xavier Chevalier et Peggy Saint-Ville