Les 5 jeunes qui ont forcé un barrage de gendarmes ont été jugés
Par Karl LORAND
05/11/2015 - 13:19
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:29
Martinique
Prison ferme, trois peines avec sursis et une relaxe ce sont les décisions prononcées hier mercredi par la justice à l'encontre des 5 jeunes qui avaient aidé à forcer un barrage de gendarmes en mai dernier à Case-Pilote.
5 jeunes âgés de 27 à 35 ans jugés hier mercredi au tribunal correctionnel
de fort de France en comparution immédiate pour avoir aidé à forcer un
barrage de gendarmerie dans la nuit du 24 mai dernier à Case - Pilote. Ils
sont poursuivis pour violence avec usage ou menace d’une arme (la moto en
l'occurrence) sans interruption de travail et mise en danger de la vie
d’autrui. Pour rappel les jeunes se trouvaient dans un groupe d’une
vingtaine de personnes à moto au moment des faits.
"C'est une non affaire"
La peine la plus forte qui a été prononcée est à l'encontre du chef de bande : 8 mois de prison ferme au lieu d’e l'année ferme requise. Déja incarcéré il reste en prison.Le deuxième individu écope de 6 mois de prison avec sursis au lieu des 2 mois fermes requis, puis 4 mois prison sursis au lieu des 10 mois prison sursis requis pour un troisième. Le quatrième jeune va devoir payer une amende de 600 euros, le dernier a été relaxé en dépit des 300 euros d’amende qui avaient été requis pour un problème de fausse identité.
L’avocat de deux d’entre eux, Maître Georges-Emmanuel Germany a fait part de sa satisfaction du verditc avant de conclure en disant que "C'est une non affaire".
Audrey Ollon et Yvonne Guilon
"C'est une non affaire"
La peine la plus forte qui a été prononcée est à l'encontre du chef de bande : 8 mois de prison ferme au lieu d’e l'année ferme requise. Déja incarcéré il reste en prison.Le deuxième individu écope de 6 mois de prison avec sursis au lieu des 2 mois fermes requis, puis 4 mois prison sursis au lieu des 10 mois prison sursis requis pour un troisième. Le quatrième jeune va devoir payer une amende de 600 euros, le dernier a été relaxé en dépit des 300 euros d’amende qui avaient été requis pour un problème de fausse identité.
L’avocat de deux d’entre eux, Maître Georges-Emmanuel Germany a fait part de sa satisfaction du verditc avant de conclure en disant que "C'est une non affaire".
Audrey Ollon et Yvonne Guilon