Les syndicats de police dénoncent leurs manques de moyens
Par Anaelle EDOM
23/11/2015 - 13:48
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:28
Guadeloupe
Le constat du syndicat Unité SPG-FO est clair. Il faut des effectifs supplémentaires.
Dimanche 22 novembre, à l’aube deux personnes ont été grièvement blessées
à la Cour Zamia (Pointe-à-Pitre). Les auteurs ont pris la fuite. Un comble
pour les syndicats de policiers. Alors que la Guadeloupe, comme
l’Hexagone, a été placée en état d’urgence, ils dénoncent des manques de
moyens récurrents.
"La Guadeloupe vit des moments difficiles avec ce fléau de violence (…). Nous demandons depuis très longtemps un apport d’effectifs supplémentaires. Nous avons eu une réponse. C’est l’envoi de gendarmes mobiles en renfort pour la zone prioritaire. Ils sont amenés à repartir au mois de janvier. C'est insuffisant", a indiqué Patrice Abdallah, du syndicat Unité SGP-FO, ce lundi 23 novembre, sur les ondes de RCI Guadeloupe.
Pour le syndicat Unité SGP-FO, ces renforts arrivent à la veille des élections. Il ne s’agirait que de manœuvre purement politicienne.
"La Guadeloupe vit des moments difficiles avec ce fléau de violence (…). Nous demandons depuis très longtemps un apport d’effectifs supplémentaires. Nous avons eu une réponse. C’est l’envoi de gendarmes mobiles en renfort pour la zone prioritaire. Ils sont amenés à repartir au mois de janvier. C'est insuffisant", a indiqué Patrice Abdallah, du syndicat Unité SGP-FO, ce lundi 23 novembre, sur les ondes de RCI Guadeloupe.
Pour le syndicat Unité SGP-FO, ces renforts arrivent à la veille des élections. Il ne s’agirait que de manœuvre purement politicienne.