Un comité de gestion pour lutter contre le Zika
Par Anaelle EDOM
26/01/2016 - 17:17
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:25
Guadeloupe
Un comité de gestion, présidé par le préfet de région a été mis en place pour éviter l’apparition de l’épidémie de Zika. Au sein de ce comité, l’Agence Régional de Santé. Cette dernière va déployer plusieurs actions de prévention.
Agir rapidement et efficacement pour éviter l’apparition de l’épidémie de
Zika. C’est désormais la mission du comité de gestion de lutte contre le
virus présidé par le préfet, Jacques Billant.
Pour rappel, des mesures similaires avaient été mises en œuvre lors de l’épidémie du Chikungnya. Composé de représentants et des opérateurs de l’Etat ce comité de gestion réfléchira aux dispositifs pour parer à toutes éventualités autant sur le plan sanitaire que sur le plan économique.
L’Agence Régional de Santé (ARS) de la Guadeloupe et des îles du nord, membre pivot de ce comité de gestion aura en charge d’éviter la propagation des maladies transmises par les insectes, en particulier les moustiques. Selon Patrice Richard, le directeur général de l’ARS les actions de lutte se mèneront principalement sur le terrain.
"On peut agir pour que l’impact de l’épidémie soit réduit. Ce que l’on souhaite c’est qu’il y ait moins de femmes enceintes touchées (…) A travers une campagne de sensibilisation on s’adressera aux femmes enceintes", a-t-il indiqué, ce mardi 26 janvier, sur les ondes de RCI Guadeloupe.
Pour rappel, des mesures similaires avaient été mises en œuvre lors de l’épidémie du Chikungnya. Composé de représentants et des opérateurs de l’Etat ce comité de gestion réfléchira aux dispositifs pour parer à toutes éventualités autant sur le plan sanitaire que sur le plan économique.
L’Agence Régional de Santé (ARS) de la Guadeloupe et des îles du nord, membre pivot de ce comité de gestion aura en charge d’éviter la propagation des maladies transmises par les insectes, en particulier les moustiques. Selon Patrice Richard, le directeur général de l’ARS les actions de lutte se mèneront principalement sur le terrain.
"On peut agir pour que l’impact de l’épidémie soit réduit. Ce que l’on souhaite c’est qu’il y ait moins de femmes enceintes touchées (…) A travers une campagne de sensibilisation on s’adressera aux femmes enceintes", a-t-il indiqué, ce mardi 26 janvier, sur les ondes de RCI Guadeloupe.