La prise en charge des victimes n'a pas nécessité de renforts extérieurs lors de l'opération Trident 2016
Par Jean-Philippe LUDON, @jpludonrci
04/04/2016 - 15:08
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:22
Martinique
VIDEOS - La prise en charge des victimes n'a pas nécessité de renforts extérieurs lors de l'opération de simulation d'une avarie sur un bateau de croisière organisée en Martinique samedi 2 avril 2016. C'est l'un des constats faits ce week-end lors d'une première évaluation de Trident 2016. Même si, certains "réglages" sont nécessaires, chez les organisateurs et acteurs de cet exercice de simulation, c'est plutôt la satisfaction qui prévaut.
Samedi 2 avril 2016, il est 4 heures du matin quand le CROSSAG est alerté
sur un incendie déclenché sur un navire de croisière au large de
Fort-de-France. Le feu, maîtrisé dans un premier temps, reprend. Il y a
des victimes. Sous la responsabilité du préfet, délégué du gouvernement
pour l'Action de l'Etat en Mer, le plan Orsec-Maritime est déclenché. Il y
a une centaine de blessés qui vont être pour certains transférés sur CHUM.
C'était le scénario retenu et mis en musique lors de l'exercice de simulation Trident 2016. Lors d'une première évaluation ce week-end, les acteurs et organisateurs se sont dans l'ensemble montrés satisfaits. A l'instar du préfet de Martinique Fabrice Rigoulet-Roze qui, entre autres motifs de satisfaction, relève qu'il n'a pas été nécessaire de faire appel à des renforts extérieurs pour assurer la prise en charge d'une centaines de blessés.
La ville de Fort-de-France, impliquée dans l'exercice de simulation, avait mobilisé les acteurs du plan communal de sauvegarde de la population. Si Didier Laguerre, le maire de la ville-capitale, a noté quelques réglages nécessaires, il observe que l'opération Trident s'est bien déroulée. Il retient le caractère très réaliste de l'exercice. Un figurant qui se jette à l'eau pour les besoins du scénario, un "touriste" acteur lui aussi de cette simulation qui l'interpelle en anglais.
Commandant des Forces Armées aux Antilles, le contre-amiral Olivier Courpy a qualifié pour sa part de "bonne" la coordination des trente services de l'Etat mobilisés dans le cadre de Trident 2016.
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Jean-Philippe Ludon
@jpludonrci
C'était le scénario retenu et mis en musique lors de l'exercice de simulation Trident 2016. Lors d'une première évaluation ce week-end, les acteurs et organisateurs se sont dans l'ensemble montrés satisfaits. A l'instar du préfet de Martinique Fabrice Rigoulet-Roze qui, entre autres motifs de satisfaction, relève qu'il n'a pas été nécessaire de faire appel à des renforts extérieurs pour assurer la prise en charge d'une centaines de blessés.
La ville de Fort-de-France, impliquée dans l'exercice de simulation, avait mobilisé les acteurs du plan communal de sauvegarde de la population. Si Didier Laguerre, le maire de la ville-capitale, a noté quelques réglages nécessaires, il observe que l'opération Trident s'est bien déroulée. Il retient le caractère très réaliste de l'exercice. Un figurant qui se jette à l'eau pour les besoins du scénario, un "touriste" acteur lui aussi de cette simulation qui l'interpelle en anglais.
Commandant des Forces Armées aux Antilles, le contre-amiral Olivier Courpy a qualifié pour sa part de "bonne" la coordination des trente services de l'Etat mobilisés dans le cadre de Trident 2016.
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Jean-Philippe Ludon
@jpludonrci