Le propriétaire de la ferme Perrine se défend de maltraitance sur les animaux
Par Karl LORAND
04/10/2016 - 16:12
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:19
Martinique
Plusieurs internautes accusent l'établissement de négliger les animaux encore présents à la ferme Perrine au Lamentin. Pour son responsable, les pensionnaires du site sont traités correctement. Par ailleurs selon nos informations la Direction de l'alimentation, de l'agriculture et de la Forêt n'a été saisie d'aucune plainte concernant la ferme.
Le parc animalier de la ferme Perrine est-il un mouroir pour animaux ?
Pour plusieurs internautes qui nous ont fait part de leur inquiétude
notamment sur la situation du singe capucin.
Pour en avoir le coeur net, nous sommes allés voir au plus près. "Je précise que la ferme n'est pas un zoo. Nous avons des animaux vieillissant, nous avons des animaux fatigués. Maintenant on va pas les euthanasier, on va faire le maximum pour eux comme si c'était des êtres humains", explique Johnny Rose le gérant de la ferme Perrine.
En liberté, les paons n’ont pas l’air si mal, même s’ils sont un peu déplumés. "Cela peut choquer les visiteurs mais le paon perd ses plumes tous les ans. Les nouvelles repoussent. Les autres animaux sont en bonne santé. Ils se reproduisent donc on pas de problèmes à ce niveau là", assure le responsable du site.
Les défenseurs de la cause animalière ont laissé entendre à travers leurs pages facebook qu'ils interpelleront la SPA ou la DAAF. Pourtant le gérant de la ferme Perrine n’a pas d’inquiétude. Ces animaux qui se reproduisent à la ferme Perrine doivent manger, être soigner lorsqu’ils sont malades, C’est un budget. Combien cela coute t’il ? "Il faut compter entre 5 et 8000 euros uniquement pour les animaux", avance Johnny Rose.
Des animaux relogés
La ferme Perrine a 23 ans cette année. Certains de ces animaux en captivité comme le singe capucin, les serpents ou le raton laveur vont être relogés. "Maintenant qu'il y a un zoo au Carbet les animaux seront transférés là bas. D'ici la fin de l'année nous aurons d'autres animaux avec un profil plus pédagogique pour intéresser les enfants aux cycles de reproduction et à la vie des animaux", précise le gérant de la ferme.
D'après nos observations, les animaux sont propres et n’ont l’air ni stressés, ni malheureux.
Selon nos informations aucune plainte n’a été déposée à la direction départementale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt de Martinique.
Karl Lorand et Pascal Michaux
Pour en avoir le coeur net, nous sommes allés voir au plus près. "Je précise que la ferme n'est pas un zoo. Nous avons des animaux vieillissant, nous avons des animaux fatigués. Maintenant on va pas les euthanasier, on va faire le maximum pour eux comme si c'était des êtres humains", explique Johnny Rose le gérant de la ferme Perrine.
En liberté, les paons n’ont pas l’air si mal, même s’ils sont un peu déplumés. "Cela peut choquer les visiteurs mais le paon perd ses plumes tous les ans. Les nouvelles repoussent. Les autres animaux sont en bonne santé. Ils se reproduisent donc on pas de problèmes à ce niveau là", assure le responsable du site.
Les défenseurs de la cause animalière ont laissé entendre à travers leurs pages facebook qu'ils interpelleront la SPA ou la DAAF. Pourtant le gérant de la ferme Perrine n’a pas d’inquiétude. Ces animaux qui se reproduisent à la ferme Perrine doivent manger, être soigner lorsqu’ils sont malades, C’est un budget. Combien cela coute t’il ? "Il faut compter entre 5 et 8000 euros uniquement pour les animaux", avance Johnny Rose.
Des animaux relogés
La ferme Perrine a 23 ans cette année. Certains de ces animaux en captivité comme le singe capucin, les serpents ou le raton laveur vont être relogés. "Maintenant qu'il y a un zoo au Carbet les animaux seront transférés là bas. D'ici la fin de l'année nous aurons d'autres animaux avec un profil plus pédagogique pour intéresser les enfants aux cycles de reproduction et à la vie des animaux", précise le gérant de la ferme.
D'après nos observations, les animaux sont propres et n’ont l’air ni stressés, ni malheureux.
Selon nos informations aucune plainte n’a été déposée à la direction départementale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt de Martinique.
Karl Lorand et Pascal Michaux