Il tente d'immoler sa compagne, il écope de 2 ans de prison
Par Karl LORAND
21/08/2015 - 13:36
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:32
Martinique
Le jeune homme qui avait tenté d'immoler sa compagne en juillet dernier a été jugé ! Il écope d'une peine de 2 ans de prison (dont 6 mois avec sursis) suivis d'une obligation de soins. De plus, la mesure d'éloignement a été confirmée par le tribunal correctionnel de Fort-de-France.
Le 11 juillet dernier, le drame familial avait été évité de peu; en effet,
un homme de 24 ans avait tenté d'étrangler puis d''immoler sa compagne
alors même que cette dernière tentait de fuir avec un de leurs deux
enfants dans les bras. Dès le 13 juillet, il était présenté en comparution
immédiate et 3 jours plus tard il était placé en détention provisoire.
Le procès du jeune homme avait un temps été renvoyé en attendant les réulstats de l'expertise psychiatrique mais finalement, ce sont deux examens psychiatriques qui ont eu lieu. La dernière expertise - qui est arrivée tardivement - a été contesté par la défense.
"Cette expertise ayant été rendue hier à 15 heures, la défense n'a pas pu l'analyser comme il le fallait. Nous avons un délai de réflexion de dix jours pour savoir si nous ferons appel ou pas. Il (ndlr l'accusé) souhaite faire appel, il reconnaît une partie des faits... " a indiqué maître Giovanny Williams, avocat du prévenu.
La victime et ses deux enfants - pour lesquels elle s'est portée partie civile- a fait part de sa satisfaction à travers la voix de son avocat, maître Louis-Philipe Sutty. "Ma cliente est satisfaite, ce qu'elle retient c'est la mesure d'éloignement qui a été prise, c'est une très bonne chose."
a t-il conclu.
Audrey Ollon et Peggy Saint-Ville
Le procès du jeune homme avait un temps été renvoyé en attendant les réulstats de l'expertise psychiatrique mais finalement, ce sont deux examens psychiatriques qui ont eu lieu. La dernière expertise - qui est arrivée tardivement - a été contesté par la défense.
"Cette expertise ayant été rendue hier à 15 heures, la défense n'a pas pu l'analyser comme il le fallait. Nous avons un délai de réflexion de dix jours pour savoir si nous ferons appel ou pas. Il (ndlr l'accusé) souhaite faire appel, il reconnaît une partie des faits... " a indiqué maître Giovanny Williams, avocat du prévenu.
La victime et ses deux enfants - pour lesquels elle s'est portée partie civile- a fait part de sa satisfaction à travers la voix de son avocat, maître Louis-Philipe Sutty. "Ma cliente est satisfaite, ce qu'elle retient c'est la mesure d'éloignement qui a été prise, c'est une très bonne chose."
a t-il conclu.
Audrey Ollon et Peggy Saint-Ville
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