Aucune poursuite judiciaire n'est retenue contre Mario Briand
Placé en garde à vue dans la nuit de jeudi à vendredi (17 et 18 avril derniers) pour des faits supposés de violences conjugales, le quadragénaire est ressorti libre, sans être inquiété par la justice.
Mario Briand est libre. Après quasiment 40 heures de garde à vue, le quadragénaire a quitté le commissariat de police ce vendredi 18 avril, en fin de journée, sans être inquiété par la justice.
Interpellé dans la nuit de jeudi à vendredi, à Fort-de-France, un peu après 4 heures du matin, ce membre de l'association RPPRAC (Rassemblement pour la Protection des Peuples et des Ressources Afro-Caribéens), était entendu pour violences conjugales, à la suite d'un appel du voisinage à la police nationale.
« Une affaire cousue de fil blanc »
À l’issue de son audition et des éléments de l’enquête, le magistrat du parquet a décidé d’un classement sans suite.
Une information confirmée par son avocat, Me Eddy Arneton, dans une réaction laconique :
Mon client est ressorti libre de cette garde à vue et aucune charge n’a été retenue contre lui. En toute logique, puisque aucun fait de violence ne peut lui être reproché. C’est une affaire cousue de fil blanc
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