La plaie des impayés dans les copropriétés
Par Karl LORAND
14/09/2016 - 18:35
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:19
Martinique
(AUDIO) - Les impayés de charges touchent toutes les copropriétés de la Martinique. Le phénomène devient de plus en plus important. Les conséquences sont visibles : insalubrité, dégradations, insécurité. On a pu notamment le constater il y a peu dans un lotissement au Vauclin où le contenu des égouts s'est répandu dans la rue. Enquête.
Les charges impayées dans les copropriétés sont un véritable
cauchemar…pour ceux qui paient en tout cas. Il y a bien pire. Au
Diamant, en début d’année, la mairie a pris en charge, en urgence, le
système d’épuration du lotissement Lucito. Toutes les eaux usées se
déversaient dans la ravine voisine.
Mais l’un des cas les plus marquants, est celui de la cité Bon Air à Fort-de-France. Cet ensemble d’immeubles était devenu si insalubre qu’il ne restait plus qu’une solution : détruire.
C’est aussi le risque pour le propriétaire de voir son bien perdre de la valeur. Et pourtant, ils sont de plus en plus nombreux à ne pas payer leurs charges.
Les impayés atteignent même jusqu’à 100 000 euros. Des syndics mettent en place des solutions. À Fort-de-France par exemple, des appartements ont bien été vendus aux enchères pour payer les dettes de leur propriétaire.
Ecoutez l'intégralité du reportage d'Yvonne Guilon :
Mais l’un des cas les plus marquants, est celui de la cité Bon Air à Fort-de-France. Cet ensemble d’immeubles était devenu si insalubre qu’il ne restait plus qu’une solution : détruire.
C’est aussi le risque pour le propriétaire de voir son bien perdre de la valeur. Et pourtant, ils sont de plus en plus nombreux à ne pas payer leurs charges.
Les impayés atteignent même jusqu’à 100 000 euros. Des syndics mettent en place des solutions. À Fort-de-France par exemple, des appartements ont bien été vendus aux enchères pour payer les dettes de leur propriétaire.
Ecoutez l'intégralité du reportage d'Yvonne Guilon :
√ Rejoignez notre Chaîne Whatsapp, RCI INFOS MARTINIQUE, pour ne rien rater de l’actualité : cliquez ici.