Itinéraire d'un succès international martiniquais...
Par Jean-Philippe LUDON, @jpludonrci
25/09/2015 - 16:14
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:31
Martinique
Retour sur une première organisée en Martinique... C'était du 21 au 26 avril 2015 sur le plan d'eau du port de Basse-Pointe. La commune du littoral nord atlantique qui a vu naître le poète Aimé Césaire. Un vrai challenge pour la destination Martinique auprès d'un public international relevé par deux enfants du pays. Nicolas Clémenté et Nicolas Ursulet. Deux associés, amoureux d'un sport à riche potentiel qu'ils ont porté, avec d'autres, durant plusieurs années. Pour RCI+ Visions d'ici & d'ailleurs, Nicolas Ursulet revient sur ce qu'il a appelé "Itinéraire d'un succès international martiniquais".
En janvier 2013, j’ai reçu un appel téléphonique de Nicolas Clémenté, mon
actuel associé. C’était pour m’annoncer que la World
Surf League (WSL) avait vu notre travail. Et elle nous proposait
d’étudier la possibilité d’organiser une étape du championnat du monde de
surf en … Martinique.
Un pari fou !
Avec le recul, je n’aurais jamais pu imaginer que nous aurions réussi à relever ce défi, après deux ans seulement. Et encore moins à réaliser la meilleure étape du Tour QS mondiale de ces 5 dernières années, avec en prime, l’image de notre Martinique diffusée à plus de 19 millions de téléspectateurs à travers le monde.
J’avais quitté à cette époque la Martinique depuis plus d’un an. Installé dans la métropole toulousaine, je travaillais au sein d’une des mairies les plus riches de France, celle de Blagnac.
Une commune qui a la chance d’héberger le siège d’Airbus et l’aéroport toulousain. Je m’occupais alors de la gestion du financement de projets communaux externes d’envergure tel que la création du musée de l’aéronautique : Aéroscopia.
Ingénieur agronome de formation, je m’étais spécialisé dans la gestion du financement de projets. A la Chambre d’agriculture de Martinique, j’avais fait, durant cinq ans, mes premières armes sur les fonds européens agricoles du FEADER.
Un pari fou !
Avec le recul, je n’aurais jamais pu imaginer que nous aurions réussi à relever ce défi, après deux ans seulement. Et encore moins à réaliser la meilleure étape du Tour QS mondiale de ces 5 dernières années, avec en prime, l’image de notre Martinique diffusée à plus de 19 millions de téléspectateurs à travers le monde.
J’avais quitté à cette époque la Martinique depuis plus d’un an. Installé dans la métropole toulousaine, je travaillais au sein d’une des mairies les plus riches de France, celle de Blagnac.
Une commune qui a la chance d’héberger le siège d’Airbus et l’aéroport toulousain. Je m’occupais alors de la gestion du financement de projets communaux externes d’envergure tel que la création du musée de l’aéronautique : Aéroscopia.
Ingénieur agronome de formation, je m’étais spécialisé dans la gestion du financement de projets. A la Chambre d’agriculture de Martinique, j’avais fait, durant cinq ans, mes premières armes sur les fonds européens agricoles du FEADER.
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