Airbags Takata : GSA part à la recherche des derniers véhicules en circulation

Les véhicules recherchés sont en très grande majorité sur les territoires de la Grande Terre et de la Basse-Terre, mais aussi quelques unités à Marie-Galante, Saint-Martin et Saint-Barthélemy.

Pour tenter de accélérer cette opération de sécurité, le concessionnaire a mis en place ce 3 septembre une caravane mobile de sécurisation, chargée de repérer les véhicules non encore traités selon François Dufour, responsable de GSA.

Nous avons initié une campagne de déplacement sur le terrain pour essayer de retrouver un maximum de véhicules

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Une tournée de proximité

Le dispositif démarre dans l’agglomération pointoise, notamment à Baie-Mahault. Un technicien sillonne chaque jour, de 8h à 15h, pour identifier les véhicules concernés à l’aide d’un VIN checker, un outil permettant de vérifier le numéro de châssis visible sur le pare-brise. Si le propriétaire est présent, il est immédiatement contacté pour engager la procédure de remplacement.

Des actions sont également prévues dans les îles du sud, même si le nombre de véhicules y est plus limité.

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Un enjeu vital

Au niveau national, le scandale des airbags Takata a déjà coûté la vie à 18 personnes et concerne plus de 1,7 million de véhicules de différentes marques, soit plus de 30 constructeurs et 130 modèles.

Il reste beaucoup de véhicules à traiter, et chacun peut vérifier en ligne si sa voiture est concernée en entrant son numéro de châssis sur le site de son constructeur

Pour les modèles classés “stop drive”, jugés trop dangereux, la consigne reste claire : ils ne doivent plus circuler tant que l’airbag n’a pas été remplacé.