Ludovic Turpin et Joann Ruffine en commission de discipline ce vendredi
Par Anaelle EDOM
20/11/2015 - 18:01
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:28
Guadeloupe
Joann Ruffine, coureur de l’ASBM et Ludovic Turpin, coureur du VCG sont convoqués, ce vendredi, devant la commission de discipline du Comité Régionale de Cyclisme de la Guadeloupe. Des sanctions seront prises suite à la violente altercation qui avait eu lieu entre les deux hommes le jeudi 6 août 2015.
Ludovic Turpin (VCG) et Joann Ruffine (ASBM) sont convoqués, ce vendredi
20 novembre, à 18 heures en commission de discipline. Cette dernière se
tiendra au Comité Régional de Cyclisme de la Guadeloupe (CRCG).
La commission de discipline entendra, dans un premier temps, les deux protagonistes. Elle prendra ensuite de sa décision. Les deux hommes risquent une suspension voire une radiation à vie.
Le dossier sera transmis à la commission compétente de la Fédération Française de Cyclisme (FFC).Cette dernière entérinera la sanction.
L’affaire Turpin/Ruffine ne s’arrêtera pas au volet sportif. La justice a également été saisie par les deux protagonistes. D’ailleurs, Ludovic Turpin et Joann Ruffin ont déjà été entendus.
Le jeudi 6 août, entre Vieux-Habitants et Bouillante, une altercation verbale a éclaté entre les deux hommes. Après avoir chuté, ils en étaient venus aux mains. A l’époque, chacun avait livré sa version des faits.
La commission de discipline entendra, dans un premier temps, les deux protagonistes. Elle prendra ensuite de sa décision. Les deux hommes risquent une suspension voire une radiation à vie.
Le dossier sera transmis à la commission compétente de la Fédération Française de Cyclisme (FFC).Cette dernière entérinera la sanction.
L’affaire Turpin/Ruffine ne s’arrêtera pas au volet sportif. La justice a également été saisie par les deux protagonistes. D’ailleurs, Ludovic Turpin et Joann Ruffin ont déjà été entendus.
Le jeudi 6 août, entre Vieux-Habitants et Bouillante, une altercation verbale a éclaté entre les deux hommes. Après avoir chuté, ils en étaient venus aux mains. A l’époque, chacun avait livré sa version des faits.
