Une éducatrice suspectée de complicité : les syndicats de prison s'insurgent
Nous vous révélions ce mercredi, cette idylle interdite en prison à Fond Sarail, entre une éducatrice en charge de la lutte contre les violences et un détenu. Un téléphone entré illégalement a été saisi lors d'une fouille et ce dernier contenait des échanges compromettants, laissant supposer une complicité présumée de la jeune éducatrice, avec pour conséquence, d'éventuelles entrées irrégulières d'objets interdits en milieu carcéral. Les investigations se poursuivent mais les surveillants se disent inquiets et condamnent cette attitude irresponsable.
Une éducatrice en insertion œuvrant au centre de Fond Sarail est suspectée d'avoir entretenu une relation intime avec un détenu incarcéré pour meurtre. La jeune femme pourrait avoir fait entrer des marchandises illicites et également avoir averti son interlocuteur de fouilles surprises. L'enquête se poursuit afin de déterminer ce qui a pu pénétrer en prison par ce biais. Des expertises sur la téléphonie des protagonistes sont en cours. Les surveillants condamnent fermement ces faits présumés, un comportement inapproprié qui met en danger leur vie.
Eric Pétilaire, secrétaire départemental de la CGT Pénitentiaire :
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