Deux suspects interpellés, deux gendarmes blessés
Par Rinsy Xieng
25/01/2017 - 17:46
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:15
Guadeloupe
Une belle opération est à mettre à l’actif des forces de l’ordre. Mardi soir, alors que venait de se produire un braquage au Gosier, police et gendarmerie ont conjointement mis en place un dispositif d’interception. Deux jeunes ont ainsi été interpellés aux Abymes, non sans difficulté : deux militaires ont été blessés dans l’actionsuite à un refus d'obtempérer. Des investigations sont en cours.
Belle réactivité et synchronisation de la part des autorités. Tout
commence au Gosier par le braquage vers 23h d’un cyclomotoriste, la
victime est délestée de son scooter sous la menace d’une arme. Les deux
agresseurs prennent la fuite. L’alerte est lancée à toutes les
patrouilles, policiers, Brigade Anti-Criminalité, et l’escadron de renfort
de la gendarmerie mobile. Le terrain est aussitôt quadrillé sur toute
l’agglomération, de Gosier à Morne à l’eau en passant par Baie-Mahault.
Les suspects sont finalement aperçus du côté des Abymes.
Ils foncent sur les gendarmes
Des gendarmes tentent de les intercepter mais les individus ne se laissent pas faire, ils optent pour un refus d’obtempérer et foncent sur les agents. On déplore deux blessés légers chez les gendarmes, leurs jours ne semblent pas en danger. Quant aux présumés braqueurs, ils sont manu militari plaqués au sol, menottés. Bien connus des services, les jeunes majeurs font actuellement l’objet d’une garde à vue au sein du commissariat central. Ce sont les enquêteurs de la sûreté départementale qui sont en charge du dossier. Objectif ? Déterminer si d’autres faits leur sont imputables notamment ces derniers jours, les auditions ne font que commencer.
Ils foncent sur les gendarmes
Des gendarmes tentent de les intercepter mais les individus ne se laissent pas faire, ils optent pour un refus d’obtempérer et foncent sur les agents. On déplore deux blessés légers chez les gendarmes, leurs jours ne semblent pas en danger. Quant aux présumés braqueurs, ils sont manu militari plaqués au sol, menottés. Bien connus des services, les jeunes majeurs font actuellement l’objet d’une garde à vue au sein du commissariat central. Ce sont les enquêteurs de la sûreté départementale qui sont en charge du dossier. Objectif ? Déterminer si d’autres faits leur sont imputables notamment ces derniers jours, les auditions ne font que commencer.
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