La filière cosmétique a-t-elle un avenir aux Antilles ?
Les marques de cosmétiques locales sont de plus en plus nombreuses sur notre territoire. Généralement, elles proposent des produits basés sur nos produits locaux présentant de nombreuses vertus. La filière cosmétique a-t-elle un avenir aux Antilles ? C’est la thématique du Décryptage sans langue de bois de ce mercredi 12 février.
De la crème pour le corps en passant par les shampoings et après-shampoings, sans oublier les huiles, baumes à lèvres, parfum ou maquillage, les cosmétiques bien de chez nous sont en constante évolution. Des produits cosmétiques bien souvent inspirés des vertus de nos produits locaux et naturels. Amande pays, banane, goyave, ananas, ou encore noix de coco. Il y a de quoi faire à l’heure où les produits écoresponsables sont prisés et où les recherches sur nos produits portent leurs fruits.
Comment font les nouvelles marques pour s’inscrire dans cette industrie sur de si petits territoires ? En France, la filière cosmétique est un secteur clé de l’économie et représente 12 milliards d’euros de chiffres d’affaires annuels. La France est d’ailleurs l’un des leaders mondiaux à la fois dans la production et l’exportation de produits cosmétiques. Les Antilles peuvent-elles s’inscrire dans cette dynamique.
Décryptage sans langue de bois
En 2023, une antenne de Cosmétic Valley a vu le jour en Martinique. Promettant ainsi de permettre à la filière de se développer. L’industrie a-t-elle de beaux jours devant elle ? La filière est-elle suffisamment structurée pour voir grand ? Pour en parler ce soir, nous recevons :
-Rachelle Nanette, fondatrice de Bleue Rachel
-Anieva Clamy, Les Délices de Man Roro
-Marine Minos, ambassadrice de Love Coco
-Jean-Paul Daanel, fondateur du laboratoire Maravilla
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