Henri Nagapin, le nouveau président de la CCIIG
Par Anaelle EDOM
23/11/2016 - 17:50
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:17
Guadeloupe
Les élus de la Chambre de Commerce et d'Industrie ont choisi Henri Nagapin pour présider la structure. Lors du second tour des élections, il s'est imposé devant Patrick Vial-Collet et José Gaddarkhan.
"Unité, loyauté, responsabilité",
c'est la devise d'Henri Nagapin, le nouveau président de la Chambre
des commerces et d'industrie des îles de Guadeloupe (CCIIG).
Soutenu par l'équipe de Colette Koury, la présidente sortante, le directeur de la clinique des eaux clairs a été élu au deuxième tour des élections de la CCIIG, ralliant 24 des 44 votants.
Ses adversaires malheureux, Patrick Vial-Collet et José Gaddarkhan n'ont obtenu que 11 et 9 voix.
Après une campagne douloureuse, Henri Nagapin veut rapidement s'attaquer aux grands chantiers comme le Registre des commerces et sociétés (RCS), la baisse des charges sociale et fiscale ou encore le Crédit d'impôts pour la compétitivité et l'emploi (CICE).
"Vous savez nous sommes dans la mondialisation, il faut que les entreprises s'adaptent. Pour s'adapter nous avons besoin de critères précis", a-t-il expliqué.
Celui qui est souvent présenté comme le candidat d'un clan veut désormais être l'homme du rassemblement. "Je suis pas le président d'un clan. Simplement, je vais gérer la CCI en toute responsabilité", a-t-il assuré.
Pourtant, Henri Nagapin ne compte pas "se passer des conseils de Madame Koury", désormais présidente d'honneur de la chambre.
Quand on lui oppose les propos de ces adversaires sur son besoin de concertation avec Colette Koury. Il y voit des "candidats malheureux" et "chagrinés". "C'est important d'avoir Colette Koury à nos côtés, c'est quelque qui a du flaire. C'est une visionnaire", poursuit-il.
Henri Nagapin entend donc profiter de l'expérience de Colette Koury tout en imposant son style.
Le nouveau président souhaite mettre en place plusieurs commissions et des bureaux pour faire vivre la Chambre des commerces et d'industrie des îles de Guadeloupe.
Avec son arrivée, il en est persuadé la gouvernance et style de gouvernance de l'entité changeront nécessairement."Chaque homme a son principe managériale. Il faut aussi savoir délégué", a-t-il indiqué.
Le nouvel homme fort de la CIIIG a remporté une première bataille en récupérant le siège de Colette Koury. Reste qu'il devra faire face aux dossiers difficiles du CWTC et du Lamasure.
Anaëlle Edom avec Thierry Fundéré
Soutenu par l'équipe de Colette Koury, la présidente sortante, le directeur de la clinique des eaux clairs a été élu au deuxième tour des élections de la CCIIG, ralliant 24 des 44 votants.
Ses adversaires malheureux, Patrick Vial-Collet et José Gaddarkhan n'ont obtenu que 11 et 9 voix.
Après une campagne douloureuse, Henri Nagapin veut rapidement s'attaquer aux grands chantiers comme le Registre des commerces et sociétés (RCS), la baisse des charges sociale et fiscale ou encore le Crédit d'impôts pour la compétitivité et l'emploi (CICE).
"Vous savez nous sommes dans la mondialisation, il faut que les entreprises s'adaptent. Pour s'adapter nous avons besoin de critères précis", a-t-il expliqué.
Celui qui est souvent présenté comme le candidat d'un clan veut désormais être l'homme du rassemblement. "Je suis pas le président d'un clan. Simplement, je vais gérer la CCI en toute responsabilité", a-t-il assuré.
Pourtant, Henri Nagapin ne compte pas "se passer des conseils de Madame Koury", désormais présidente d'honneur de la chambre.
Quand on lui oppose les propos de ces adversaires sur son besoin de concertation avec Colette Koury. Il y voit des "candidats malheureux" et "chagrinés". "C'est important d'avoir Colette Koury à nos côtés, c'est quelque qui a du flaire. C'est une visionnaire", poursuit-il.
Henri Nagapin entend donc profiter de l'expérience de Colette Koury tout en imposant son style.
Le nouveau président souhaite mettre en place plusieurs commissions et des bureaux pour faire vivre la Chambre des commerces et d'industrie des îles de Guadeloupe.
Avec son arrivée, il en est persuadé la gouvernance et style de gouvernance de l'entité changeront nécessairement."Chaque homme a son principe managériale. Il faut aussi savoir délégué", a-t-il indiqué.
Le nouvel homme fort de la CIIIG a remporté une première bataille en récupérant le siège de Colette Koury. Reste qu'il devra faire face aux dossiers difficiles du CWTC et du Lamasure.
Anaëlle Edom avec Thierry Fundéré
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