Fourrière Départementale : les salariés non-grévistes poussent un cri d'alarme
Par Karl LORAND
20/03/2015 - 18:45
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:38
Martinique
Le conflit à la fourrière départementale se poursuit. Après 51 jours de grève les négociations sont aujourd’hui au point mort. Les salariés non-grévistes demandent à ce que tout le monde revienne à la table des négociations.
Un mouvement de grève paralyse la fourrière départementale de Mangot
Vulcin depuis la fin du mois de janvier. Pour l'heure le dialogue est
rompu entre la direction et les salariés grévistes.
"On ne fait que subir le mouvement de grève, on ne nous a pas interrogé..."
Du côté des non-grévistes le constat est amère. Ces derniers poussent aujourd’hui un cri d’alarme. Olivier Ormouelle et Felix Nouison chauffeurs pour la société Carib Développement à la fourrière départementale demandent la reprise de l’activité !
"On ne fait que subir le mouvement de grève, on ne nous a pas interrogé... Je trouve injuste qu'on soit pris en otage."déplore Olivier Ormouelle.
"Au fur et à mesure on constate que le conflit s'enlise ! L'activité a fortement chuté. Il faut qu'on nous entende aussi ! Il y a des salariés non grévistes qui ont envie de travailler. On souhaite que tout le monde revienne sur la table des négociations afin de faire avancer ce conflit." a expliqué Félix Nouison
Audrey Ollon et Peggy Saint-Ville
"On ne fait que subir le mouvement de grève, on ne nous a pas interrogé..."
Du côté des non-grévistes le constat est amère. Ces derniers poussent aujourd’hui un cri d’alarme. Olivier Ormouelle et Felix Nouison chauffeurs pour la société Carib Développement à la fourrière départementale demandent la reprise de l’activité !
"On ne fait que subir le mouvement de grève, on ne nous a pas interrogé... Je trouve injuste qu'on soit pris en otage."déplore Olivier Ormouelle.
"Au fur et à mesure on constate que le conflit s'enlise ! L'activité a fortement chuté. Il faut qu'on nous entende aussi ! Il y a des salariés non grévistes qui ont envie de travailler. On souhaite que tout le monde revienne sur la table des négociations afin de faire avancer ce conflit." a expliqué Félix Nouison
Audrey Ollon et Peggy Saint-Ville