Un vent nouveau souffle sur la filière maraîchère en Martinique
Par Karl LORAND
27/03/2015 - 13:14
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:38
Martinique
Par ordonnance du 19 mars 2015, le Tribunal de Grande Instance de Fort-de-France a décidé d’attribuer la cession de l’enseigne, de la marque et du bail attachés aux entreprises liquidées SOCOPMA et SOCOPGEL à la société MAIA. Cette nouvelle société a été présentée hier jeudi à la chambre d'agriculture.
Le Marché Agricole d’Intérêts Antillais (MAIA) a été présenté ce jeudi
matin à la Chambre d’Agriculture de la Martinique au Lamentin... - La
structure est constituée de la Coopérative Horticole de la Martinique
(CHM) et de la société PMP SARL, filiale du groupe DATEX. Ses objectifs
sont entre autres de relancer et développer la production horticole ou
encore de satisfaire le marché en produits végétaux frais et transformés.
La structure a pu récupérer la plateforme maraîchère utilisée auparavant par la SOCOPMA/SOCOPGEL au Lamentin mais doit subir quelques travaux avec l’arrivée prochaine d’équipements modernes. 15 emplois sont générés mais il n'y a pas d’obligation de reprise du personnel de la SOCOPMA/SOCOPGEL.
Aujourd’hui, les agriculteurs locaux ont besoin d'accompagnement. "Il est important de structurer la filière dans sa globalité. Aujourd'hui il y a des agriculteurs qui ont arrêté de produire, ils ont des difficultés financières parce que la situatation s'est arrêtée. Il faut qu'ils aient une garantie de commercialisation mais aussi une garantie de paiement de leurs produits." a expliqué Claude Marie-Louise, agriculteur et Président de la Coopérative Horticole de la Martinique.
Audrey Ollon et Mario Guiolet
La structure a pu récupérer la plateforme maraîchère utilisée auparavant par la SOCOPMA/SOCOPGEL au Lamentin mais doit subir quelques travaux avec l’arrivée prochaine d’équipements modernes. 15 emplois sont générés mais il n'y a pas d’obligation de reprise du personnel de la SOCOPMA/SOCOPGEL.
Aujourd’hui, les agriculteurs locaux ont besoin d'accompagnement. "Il est important de structurer la filière dans sa globalité. Aujourd'hui il y a des agriculteurs qui ont arrêté de produire, ils ont des difficultés financières parce que la situatation s'est arrêtée. Il faut qu'ils aient une garantie de commercialisation mais aussi une garantie de paiement de leurs produits." a expliqué Claude Marie-Louise, agriculteur et Président de la Coopérative Horticole de la Martinique.
Audrey Ollon et Mario Guiolet