Coraline Vitalis, réel espoir de l'escrime guadeloupéen
Par Anaelle EDOM
07/04/2015 - 15:53
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:37
Guadeloupe
La Guadeloupéenne Coraline Vitalis est devenue championne du monde junior à l'épée ce mardi en Ouzbékistan. Une performance de choix pour ce réel espoir de l'escrime. Elle a battu en finale l'allemande Stahlberg sur le score de 15 à 6.
En très bonne condition physique, il y a quinze jours Coraline
Vitalis a participé au championnat du monde senior d'escrime à Budapest en
Hongrie et a terminé septième. Aujourd'hui, Alex Vitalis, son père n'a pas
caché sa fierté en annoncant sur RCI la performance de sa fille, une
sportive très prometteuse. A seulement 20 ans, la Guadeloupéenne devient
championne du monde d'escrime junior en battant en finale l'Allemande
Stahlberg avec un score de 15 à 6 à Tashkent (Ouzbékistan).
Des dispositions hors du commun ?
Coraline Vitalis commence l'escrime à 7 ans au club Chevalier de Saint Georges au Gosier. Très tôt, elle dépose le fleuret, l'arme du débutant pour l'épée. Un talent qui tend à se développer puisque depuis 3 ans Coraline Vitalis est à l'Insep (Institut national des sports) pour se perfectionner. Souvent surclassée lors des Coupes du monde, elle participe à très peu de compétition junior. Une ambition : porter le maillot tricolore au plus haut notemment lors des JO de 2016.
Une compétition suivie en ligne
Pour se tenir au courant du déroulement de la compétition, Alex Vitalis en père connecté a obtenu les premières informations directement de sa fille via whatsapps. Devant une compétition peu médiatisée et où l'on retrouve peu d'images, c'est sur Internet qu'il a pu suivre la remise des prix. Quand bien même, ce père ravi, a voulu garder la tête froide avant les résultats : " Volontairement, on essaie d'être très distant puisque l'on est un peu crispé" a t-il confié sur l'antenne d'RCI.
Anaëlle Edom
Des dispositions hors du commun ?
Coraline Vitalis commence l'escrime à 7 ans au club Chevalier de Saint Georges au Gosier. Très tôt, elle dépose le fleuret, l'arme du débutant pour l'épée. Un talent qui tend à se développer puisque depuis 3 ans Coraline Vitalis est à l'Insep (Institut national des sports) pour se perfectionner. Souvent surclassée lors des Coupes du monde, elle participe à très peu de compétition junior. Une ambition : porter le maillot tricolore au plus haut notemment lors des JO de 2016.
Une compétition suivie en ligne
Pour se tenir au courant du déroulement de la compétition, Alex Vitalis en père connecté a obtenu les premières informations directement de sa fille via whatsapps. Devant une compétition peu médiatisée et où l'on retrouve peu d'images, c'est sur Internet qu'il a pu suivre la remise des prix. Quand bien même, ce père ravi, a voulu garder la tête froide avant les résultats : " Volontairement, on essaie d'être très distant puisque l'on est un peu crispé" a t-il confié sur l'antenne d'RCI.
Anaëlle Edom