La première étape du redressement judiciaire de France-Antilles s’est déroulée ce jeudi
Par Anaelle EDOM
25/06/2015 - 18:10
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:34
Guadeloupe
La direction de France-Antilles a présenté, ce jeudi, la situation du quotidien au tribunal de commerce de Pointe-à-Pitre. Elle a aussi abordé la question des licenciements.
Après le placement en redressement judiciaire du journal France-Antilles
Guadeloupe le 30 avril dernier, une nouvelle audience a été organisée ce
jeudi 25 juin au tribunal de commerce de Pointe-à-Pitre.
La direction de France-Antilles a présenté la situation et les propositions concernant la société. Il s’agirait du bilan économique, social et environnemental de l’entreprise. Elle a également abordé la question des licenciements. Les représentants syndicaux étaient présents. Ils dénoncent un manque de concertation en interne.
« Il y a une instance représentatif qui est le comité d’entreprise. La direction n’a même pas dénié nous informer ni nous consulter au sujet du document qui a été présenté. C’est au tribunal que nous en avons pris connaissance», a expliqué Willy Anasthase, délégué du personnel UTT-UGTG.
La deuxième étape de la procédure de redressement judiciaire est prévue pour le 22 octobre. Selon Willy Anasthase, c’est une façon de prolonger la procédure.
La direction de France-Antilles a présenté la situation et les propositions concernant la société. Il s’agirait du bilan économique, social et environnemental de l’entreprise. Elle a également abordé la question des licenciements. Les représentants syndicaux étaient présents. Ils dénoncent un manque de concertation en interne.
« Il y a une instance représentatif qui est le comité d’entreprise. La direction n’a même pas dénié nous informer ni nous consulter au sujet du document qui a été présenté. C’est au tribunal que nous en avons pris connaissance», a expliqué Willy Anasthase, délégué du personnel UTT-UGTG.
La deuxième étape de la procédure de redressement judiciaire est prévue pour le 22 octobre. Selon Willy Anasthase, c’est une façon de prolonger la procédure.