Dessalement : le projet économique et écologique de la SARA
Par Karl LORAND
01/10/2015 - 20:58
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:30
Martinique
Une table ronde s'est tenue hier mercredi à la SARA autour du dessalement de l'eau de mer. Avoir de l'eau douce grâce au dessalement de l'eau de mer, un défi technologique auquel la SARA veut prendre part. L'objectif est de mettre en place ce système de déssalement de l'eau de mer en Martinique d'ici 2 ans.
La Société Anonyme de Raffinerie aux Antilles
a tenu mercredi matin une table ronde sur un tout nouveau procédé de
déssalement d'eau de mer ! La SARA a des besoins importants, en effet 25 m
3 d'eau sont en moyenne utilisé par heure à la raffinerie. Avec ce nouveau
système dit "par osmose inversée" et d'un coût
d'environ 3 millions d'euros, la production d'eau industrielle se ferait
24 h / 24 grâce à une alimentation photovoltaïque. Cette initiative qui
constitue le premier des 5 projets d'énergies nouvelles menées à terme par
la SARA est une aubaine pour cette dernière et ses partenaires.
L'ODE peut-être un partenaire de premier ordre sur ce projet, Gladys Amory qui a en charge les dossiers de demande de subvention de cette structure a réagi après cette première présentation. "2 ans cela semble très ambitieux... Je suppose que le paquet va être mis pour que le projet soit réalisable. En tant qu'établissement public en charge de la préservation du milieu aquatique nous on va surtout s'attarder sur les aspects techniques, réglementaires et voir si tous ces aspects ont été pris en compte pour que le projet respecte au mieux la baie de Fort-de-France", a t-elle précisé.
Les 14 partenaires sollicités mercredi semblaient - pour la majorité - enthousiastes après cette première présentation. Pour la SARA ce projet serait le seul en Martinique (pour les 3 DFA).
La question principale reste l'amortissement du coût financier total du projet, quelques partenaires devraient apporter leur concours à la réalisation de cet ambitieux système !
Audrey Ollon et Peggy Saint-Ville
.
L'ODE peut-être un partenaire de premier ordre sur ce projet, Gladys Amory qui a en charge les dossiers de demande de subvention de cette structure a réagi après cette première présentation. "2 ans cela semble très ambitieux... Je suppose que le paquet va être mis pour que le projet soit réalisable. En tant qu'établissement public en charge de la préservation du milieu aquatique nous on va surtout s'attarder sur les aspects techniques, réglementaires et voir si tous ces aspects ont été pris en compte pour que le projet respecte au mieux la baie de Fort-de-France", a t-elle précisé.
Les 14 partenaires sollicités mercredi semblaient - pour la majorité - enthousiastes après cette première présentation. Pour la SARA ce projet serait le seul en Martinique (pour les 3 DFA).
La question principale reste l'amortissement du coût financier total du projet, quelques partenaires devraient apporter leur concours à la réalisation de cet ambitieux système !
Audrey Ollon et Peggy Saint-Ville
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