CTM : Rappel à l'ordre de Raymond Occolier

Par 21/10/2015 - 13:20 • Mis à jour le 18/06/2019 - 15:29

Le maire de la ville du Vauclin Raymond Occolier sort discrètement du silence par le biais des réseaux sociaux ! À cette occasion il demande à son équipe municipale de ne pas parler en son nom en ce qui concerne le vote pour la Collectivité Territoriale de Martinique.

    CTM : Rappel à l'ordre de Raymond Occolier
C’est sur sa page Facebook que le maire du Vauclin a posté un message très clair qui n'est pas passé inapercu : "Ne me faites pas parler, ne parlez pas à ma palce." A travers ce message fort le maire du Vaulcin rappelle qu'il ne s’est pour l’instant pas exprimé sur le scrutin de décembre en dépit du fait que son premier adjoint soit venu apporter la voix du conseil municipal du Vauclin à la liste du Gran Sanblé d’Alfred Marie-Jeanne.

Les réseaux sociaux pour s'exprimer

Il est clair qu'à travers ce message sur facebook le maire du Vauclin fait allusion à la prise de position de Georges Cléon - son 1er adjoint - venu à Sainte-Marie avec le soutien du Conseil municipal Vauclinois.

Raymond Occolier semble prendre ses distances avec ses collègues du conseil municipal et précise que "ni dans des réunions privées, ni dans des réunions publiques personne ne m'a jamais entendu exprimer ma préférence pour telle ou telle tête de liste pour les élections de décembre. N'avez vous pas remarqué que vous n'entendez jamais ma voix dans le concert des polémiques et affrontements verbaux quotidiens de la pré-campagne? Je suis dans le calme et dans le silence " , fin de citation.

L'homme politique s’engage à s’exprimer le moment venu, dans la forme que qu’il aura choisie. C’est Georges Cléon qui va apprécier ce message que le maire du Vauclin a posté sur sa page Facebook. Pour l'heure, il médite Luc Chapitre 1 verset 15 voilà la conclusion du message écrit par le chef de l’édilité vauclinoise. Quand on dit que la campagne de la CTM risque de faire exploser les conseils municipaux... ça aussi c’est à méditer !

Audrey Ollon et Jean-Marc Pulvar



À lire également