Une légère embellie des indicateurs financiers
Par Anaelle EDOM
29/10/2015 - 15:31
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:29
Guadeloupe
Selon l’Insee, les indicateurs financiers sont mieux orientés pour le dernier trimestre. Cette très légère embellie devrait profiter à l’économie guadeloupéenne.
Les chiffres du dernier trimestre publiés par l’Insee montrent des
indicateurs financiers mieux orientés. Une légère amélioration qui
transparaît dans l’encours des crédits consentis à l’économie.
Il totalise 8,6 milliards d’euros et continue également à croître. Et ce, à un rythme plus modéré que l’année précédente (+2,0% contre +5,5%, fin juin 2014).
Les crédits aux entreprises s’inscrivent également en hausse sur douze mois (+2, 3% contre +2,1% en fin juin 2014). Ils sont tirés par la progression des crédits immobiliers (+5,4%). En parallèle, l’encours sain des crédits aux ménages enregistre une augmentation identique à celle de juin 2014 (+3,8%).
Les crédits alloués aux collectivités locales affichent pour leur part une croissance plus soutenue, soit 7,8 contre +3,5 en fin juin 2014.
Avec 7,8 milliards, la collecte nette d’actifs financiers est également en progression (4,6% contre +3,4% à fin juin 2014). Une progression qui s’explique par la croissance des dépôts à vue des entreprises (+27,7%).
Il totalise 8,6 milliards d’euros et continue également à croître. Et ce, à un rythme plus modéré que l’année précédente (+2,0% contre +5,5%, fin juin 2014).
Les crédits aux entreprises s’inscrivent également en hausse sur douze mois (+2, 3% contre +2,1% en fin juin 2014). Ils sont tirés par la progression des crédits immobiliers (+5,4%). En parallèle, l’encours sain des crédits aux ménages enregistre une augmentation identique à celle de juin 2014 (+3,8%).
Les crédits alloués aux collectivités locales affichent pour leur part une croissance plus soutenue, soit 7,8 contre +3,5 en fin juin 2014.
Avec 7,8 milliards, la collecte nette d’actifs financiers est également en progression (4,6% contre +3,4% à fin juin 2014). Une progression qui s’explique par la croissance des dépôts à vue des entreprises (+27,7%).