L'Etat de catastrophe naturelle reconnu pour 12 communes
Par Karl LORAND
18/11/2015 - 16:02
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:28
Martinique
L'état de reconnaissance de catastrophe naturelle a été arrêté pour 12 communes sévèrement touchées par les intempéries qui se sont abattues sur la Martinique il y a un peu moins de deux semaines.
12 communes sur 14 ont obtenu la reconnaissance de catastrophe naturelle
auprès du gouvernement français suite aux inondations qui ont touché la
Martinique il y a un peu moins de deux semaines; c'est l'annonce faite par
la ministre de l'outre mer George Pau Langevin lors de sa conférence de
presse de ce mercredi matin.
L'arrêté sera publié très bientôt et il concernera les Anses d'Arlet, Ducos, François, Marin, Rivière-Pilote, Rivière-Salée, Robert, Saint-Esprit, Sainte-Anne, Sainte-Luce, Trois-Ilets et Vauclin. Le Diamant et le Gros-Morne doivent renvoyer des rapports complémentaires pour espérer eux aussi obtenir la reconnaissance de catastrophe naturelle.
A présent les sinistrés doivent être patients, comme l'indique le communiqué de la préfecture daté de ce jour. "Une fois l'arrêté publié, les personnes physiques ou morales concernées par les intempéries en cause devront faire parvenir un état de leurs préjudices à leur assurer au plus tard dans les dix jours qui suivent la parution de l'arrêté au Journal Officiel."
Audrey Ollon
L'arrêté sera publié très bientôt et il concernera les Anses d'Arlet, Ducos, François, Marin, Rivière-Pilote, Rivière-Salée, Robert, Saint-Esprit, Sainte-Anne, Sainte-Luce, Trois-Ilets et Vauclin. Le Diamant et le Gros-Morne doivent renvoyer des rapports complémentaires pour espérer eux aussi obtenir la reconnaissance de catastrophe naturelle.
A présent les sinistrés doivent être patients, comme l'indique le communiqué de la préfecture daté de ce jour. "Une fois l'arrêté publié, les personnes physiques ou morales concernées par les intempéries en cause devront faire parvenir un état de leurs préjudices à leur assurer au plus tard dans les dix jours qui suivent la parution de l'arrêté au Journal Officiel."
Audrey Ollon