L'agression filmée d'une mineure fait le buzz
Par Rinsy Xieng
06/01/2016 - 17:36
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:26
Guadeloupe
Les réseaux sociaux sont souvent supports à toutes sortes de dérives. Une nouvelle vidéo fait depuis hier mardi le buzz. On y voit une jeune mineure en pleure, frappée et humiliée par d’autres filles. Les faits se seraient produits à Sainte-Rose. Certains internautes n’ont malheureusement pas hésité a partager cette publication. Rappelons que le fait de la partager est aussi condamnable. D’autres personnes ont préféré la signaler de suite aux autorités.
Il n’est pas rare de voir circuler ce genre de vidéos sur les réseaux
sociaux : violences, humiliation, parfois pornographie de mineurs…
Nouvelle illustration cette vidéo filmée semble t-il à l’aide d’un
portable, qui montre une très jeune fille, subissant les foudres d’autres
adolescente. Elles n’hésitent pas à la frapper sur la séquence d'une
dizaine de secondes. La publication a rapidement été reprise par des
utilisateurs du web mais d'autres ont immédiatement signalé cette
publication. La municipalité de Sainte-rose à d’ailleurs dans la foulée,
averti les autorités compétentes tout en lancant un
appel à témoins sur la page Facebook du maire, Claudine Bajazet.
Des protagonistes identifés
Les protagonistes présents sur cette vidéo auraient déjà été identifiés, il s'agirait également de mineures. Une enquête de gendarmerie est en cours. Par ailleurs, la Mairie assure qu'un travail de prévention et de civisme est à faire concernant ce type de dérives aussi bien auprès des jeunes que des parents. Rappelons que le fait de filmer et de diffuser ce genre d’actes est puni par l'article 222-33 du Code Pénal. La loi prévoit jusqu’à 5 ans de prison et 75.000 euros d'amende.
Rinsy Xieng
Des protagonistes identifés
Les protagonistes présents sur cette vidéo auraient déjà été identifiés, il s'agirait également de mineures. Une enquête de gendarmerie est en cours. Par ailleurs, la Mairie assure qu'un travail de prévention et de civisme est à faire concernant ce type de dérives aussi bien auprès des jeunes que des parents. Rappelons que le fait de filmer et de diffuser ce genre d’actes est puni par l'article 222-33 du Code Pénal. La loi prévoit jusqu’à 5 ans de prison et 75.000 euros d'amende.
Rinsy Xieng