Jacques Gillot : "Je fais mon possible pour être au Sénat"
Par Anaelle EDOM
17/05/2016 - 14:33
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:21
Guadeloupe
Dans un livre intitulé "Le Sénat, un paradis fiscal des sénateurs fantômes", le nom de Jacques Gillot figure parmi 13 autres. A en croire l'auteur de cet ouvrage, la présence du sénateur guadeloupéen serait rare au sein de la Haute assemblée. Ce mardi 17 mai 2016, le Jacques Gillot s'est inscrit en faux contre ces accusations.
Ce mardi 17 mars 2016, Jacques Gillot s’inscrit en faux à l'égard de
dénonciations soulignant son absentéisme au Sénat.
Dans un livre qui sortira prochainement sous le titre "Le Sénat, un paradis fiscal pour des sénateurs fantômes", le nom de l'élu figure parmi ceux de 13 autres sénateurs.
L’auteur-journaliste de ce livre affirme que Jacques Gillot et les autres sénateurs ont même subi une retenue sur leurs indemnités parlementaires au regard de ses absences.
En effet, réélu à la présidence du Sénat en septembre 2014, Gérard Larcher avait souhaité redorer le blason de cette institution si critiquée par les Français. Ils la jugent souvent inutile et trop chère. Dans cet optique, le président du Sénat avait donc réfléchi aux moyens qui permetraient de rendre l'action de la Haute assemblée plus lisible.
En mars 2015, Gérard Larcher a ainsi annoncé un ensemble de mesures dont les fameuses sanctions financières. Elles ont pris effet à compter du 1er octobre 2015, s'appliquant à tous les sénateurs en cas d'absentéisme.
Mais face à ces accussations, Jacques Gillot s’insurge preuve à l’appui. Il ne ferait en aucun cas partie de ces sénateurs fantômes.
"Concrètement,je n'ai aucun problème (...) Je fais mon possible, malgré les difficultés, pour être au Sénat toutes les semaines (...) Depuis que cette mesure est mise en place, depuis octobre 2015 je n'ai jamais eu de problème par rapport au Sénat. J'y vais quand je pense que c'est nécessaire pour le pays".
Rapporteur du texte sur les normes phytosanitaires dans les Départements d'Outre-mer (DOM) et les Territoires d'Outre-mer (TOM), Jacques Gillot a assure que sa présence rue Vaugirard est plus que jamais primordiale. Et ce, pour mieux défendre les intérêts des Ultramarins.
" Je suis là pour travailer pour voir dans quelle mesure on trouve des solutions par rapport à ces normes. La preuve, la personne qui s'occupe de ce dossier a envoyé un mail pour dire que je ne faisais pas partie de ces absents".
Dans un livre qui sortira prochainement sous le titre "Le Sénat, un paradis fiscal pour des sénateurs fantômes", le nom de l'élu figure parmi ceux de 13 autres sénateurs.
L’auteur-journaliste de ce livre affirme que Jacques Gillot et les autres sénateurs ont même subi une retenue sur leurs indemnités parlementaires au regard de ses absences.
En effet, réélu à la présidence du Sénat en septembre 2014, Gérard Larcher avait souhaité redorer le blason de cette institution si critiquée par les Français. Ils la jugent souvent inutile et trop chère. Dans cet optique, le président du Sénat avait donc réfléchi aux moyens qui permetraient de rendre l'action de la Haute assemblée plus lisible.
En mars 2015, Gérard Larcher a ainsi annoncé un ensemble de mesures dont les fameuses sanctions financières. Elles ont pris effet à compter du 1er octobre 2015, s'appliquant à tous les sénateurs en cas d'absentéisme.
Mais face à ces accussations, Jacques Gillot s’insurge preuve à l’appui. Il ne ferait en aucun cas partie de ces sénateurs fantômes.
"Concrètement,je n'ai aucun problème (...) Je fais mon possible, malgré les difficultés, pour être au Sénat toutes les semaines (...) Depuis que cette mesure est mise en place, depuis octobre 2015 je n'ai jamais eu de problème par rapport au Sénat. J'y vais quand je pense que c'est nécessaire pour le pays".
Rapporteur du texte sur les normes phytosanitaires dans les Départements d'Outre-mer (DOM) et les Territoires d'Outre-mer (TOM), Jacques Gillot a assure que sa présence rue Vaugirard est plus que jamais primordiale. Et ce, pour mieux défendre les intérêts des Ultramarins.
" Je suis là pour travailer pour voir dans quelle mesure on trouve des solutions par rapport à ces normes. La preuve, la personne qui s'occupe de ce dossier a envoyé un mail pour dire que je ne faisais pas partie de ces absents".