Rachid Rafaa aurait été vu à Marie-Galante
Par Anaelle EDOM
09/08/2016 - 21:09
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:20
Guadeloupe
La traque de Rachid Rafaa se poursuit aussi bien en Martinique qu'en Guadeloupe. Ces derniers jours, plusieurs signalements concernant le présumé djihadiste marocain sont parvenus à la gendarmerie de Guadeloupe. L'homme aurait été aperçu notamment à Marie-Galante.
Depuis plusieurs jours, des renforts de gendarmeries sont observés à
Marie-Galante. Des rumeurs font également état d'opérations de recherches
menées pour tenter de retrouver un individu fiché S dans l'île du sud.
De ce fait, notre rédaction a interrogé le commandement de la gendarmerie nationale de la Guadeloupe. Selon lui, plusieurs signalements de Rachid Rafaa sont parvenus à leur service.
Le djihadiste présumé, âgé de 40 ans, marocain est activement recherché par les forces de l'ordre. Le 27 juillet 2016, l'homme avait pris la fuite alors qu'il était assigné a résidence dans la commune du Morne Rouge (Martinique).
C'est dans ce cadre que les opérations dites de lever de doutes que des investigations sont conduites. Pour l'heure, aucun élément matériel n'a pu confirmer le passage ou la présence de l'individu à Marie-Galante.
Néanmoins, les signalements sont pris "très au sérieux". Ils sont également vérifiés, a-t-on indiqué à notre rédaction.
A ce stade de l'enquête, il ne s'agit donc pas de tomber dans la psychose.
De ce fait, notre rédaction a interrogé le commandement de la gendarmerie nationale de la Guadeloupe. Selon lui, plusieurs signalements de Rachid Rafaa sont parvenus à leur service.
Le djihadiste présumé, âgé de 40 ans, marocain est activement recherché par les forces de l'ordre. Le 27 juillet 2016, l'homme avait pris la fuite alors qu'il était assigné a résidence dans la commune du Morne Rouge (Martinique).
C'est dans ce cadre que les opérations dites de lever de doutes que des investigations sont conduites. Pour l'heure, aucun élément matériel n'a pu confirmer le passage ou la présence de l'individu à Marie-Galante.
Néanmoins, les signalements sont pris "très au sérieux". Ils sont également vérifiés, a-t-on indiqué à notre rédaction.
A ce stade de l'enquête, il ne s'agit donc pas de tomber dans la psychose.