Des animaux en divagation dans le périmètre de Pôle Caraïbes
Par Anaelle EDOM
11/08/2016 - 23:47
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:20
Guadeloupe
Ces derniers temps, dans animaux, bovins ou caprins, errent dans le périmètre de la Société Aéroportuaire Pôle Caraïbes (Les Abymes). La direction de la structure a dû faire un rappel à l'ordre par voie de communiqué.
Vous les avez déjà, sans doute, aperçu le long de la route, traversant le
rond-point de l'aéroport Pôle Caraïbes (les Abymes). Des bœufs, des
taureaux, des vaches et des chèvres errent dans la zone. Certains n'ont
même pas de chaine à leurs cous.
Ces animaux ne sont pas vraiment agressifs. Toutefois, ils présentent un danger pour la sécurité des automobilistes qui arrivent ou quittent Pôle Caraïbes.
Si en journée les automobilistes peuvent être attentifs, le risque s'amplifie au couché du soleil.
Face à ses questions de sécurité, dans communiqué en date du 8 août 2016, "la Société Aéroportuaire Guadeloupe Pôle Caraïbe rappelle que le pacage d'animaux, bovins ou caprins est strictement interdit dans le périmètre de la concession aéroportuaire". Elle ajoute : "Tout animal attaché ou en divagation fera l'objet d'une procédure en fourrière aux frais, risques, et périls de son propriétaire".
La Société Aéroportuaire dit compter "sur le civisme de chacun pour le strict respect de ces dispositions". Une façon de prévenir avant de guérir.
Ces animaux ne sont pas vraiment agressifs. Toutefois, ils présentent un danger pour la sécurité des automobilistes qui arrivent ou quittent Pôle Caraïbes.
Si en journée les automobilistes peuvent être attentifs, le risque s'amplifie au couché du soleil.
Face à ses questions de sécurité, dans communiqué en date du 8 août 2016, "la Société Aéroportuaire Guadeloupe Pôle Caraïbe rappelle que le pacage d'animaux, bovins ou caprins est strictement interdit dans le périmètre de la concession aéroportuaire". Elle ajoute : "Tout animal attaché ou en divagation fera l'objet d'une procédure en fourrière aux frais, risques, et périls de son propriétaire".
La Société Aéroportuaire dit compter "sur le civisme de chacun pour le strict respect de ces dispositions". Une façon de prévenir avant de guérir.