Les lycéens disent non à la violence après le meurtre de Yohan E.
Par Anaelle EDOM
16/09/2016 - 16:58
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:19
Guadeloupe
(PHOTOS) - Ce 16 septembre 2016, les lycéens des cinq grands établissements de l'agglomération pointoise se sont mobilisés pour dire non à la violence et rendre hommage à Yohan E. . Le cortège est parti du lycée Chevalier de Saint-Georges(Les Abymes). Par la suite, ils se sont rendus à Dugazon.
Après le meurtre de Yohan E. en début de semaine, les lycéens des cinq
grands lycées du secteur de Pointe-à-Pitre/Abymes ont souhaité rendre
hommage à l'adolescent.
Ce vendredi 16 septembre 2016, ils sont partis de l'établissement scolaire de la victime, le lycée Chevalier de Saint-Georges (Les Abymes). Le cortège a pris ensuite la direction de la section de Dugazon.
Pour cette marche, les élèves ont été encadrés par les enseignants et les personnels scolaires. C'est un message fort que la communauté scolaire a ainsi voulu adressé à la jeunesse guadeloupéenne.
Plus tôt sur les ondes de RCI Guadeloupe, Jean Dartron, le proviseur du lycée Chevalier de Saint-Georges, lui, assurait que cette manifestation était une volonté forte des lycéens.
"Les élèves ont vraiment souhaité que cette manifestation soit l'expression des lycées en souffrance", a-t-il expliqué.
©Patrick Soulèz
©Patrick Soulèz
© Patrick Soulèz
© Patrick Soulèz
Ce vendredi 16 septembre 2016, ils sont partis de l'établissement scolaire de la victime, le lycée Chevalier de Saint-Georges (Les Abymes). Le cortège a pris ensuite la direction de la section de Dugazon.
Pour cette marche, les élèves ont été encadrés par les enseignants et les personnels scolaires. C'est un message fort que la communauté scolaire a ainsi voulu adressé à la jeunesse guadeloupéenne.
Plus tôt sur les ondes de RCI Guadeloupe, Jean Dartron, le proviseur du lycée Chevalier de Saint-Georges, lui, assurait que cette manifestation était une volonté forte des lycéens.
"Les élèves ont vraiment souhaité que cette manifestation soit l'expression des lycées en souffrance", a-t-il expliqué.
©Patrick Soulèz
©Patrick Soulèz
© Patrick Soulèz
© Patrick Soulèz