Accusé de vols à main armée en bande organisée, il veut éviter la prison
Par Anaelle EDOM
05/12/2016 - 20:13
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:17
Guadeloupe
Depuis ce lundi 5 décembre 2016, Philippe Diavorini comparait devant la cour d'appel de Basse-Terre. L'homme a déjà été condamné en première instance à 15 ans de réclusion criminelle pour "vols à main armée" et "association de malfaiteurs". Cette fois, il espère bien échapper à la détention.
Condamné en première instance, Philippe Diavorini comparait une nouvelle
fois devant le tribunal de Basse-Terre ce lundi 5 décembre 2016.
Il y a un peu plus d'un an, l'homme avait écopé de 15 années de réclusion criminelle pour "vols à main armée en bande organisée" et "association de malfaiteurs".
Cette fois, selon notre correspondant à Basse-Terre, Pierre Emmanuel, Philippe Diavorini ne conçoit pas de se retrouver en prison. L'accusé ne veut surtout pas payer pour ses comparses.
Jusqu'au vendredi 9 décembre, il devra donc s'expliquer sur son rôle dans une série de vols, datant de 2012, devant les jurés de la cour d'appel de Basse-Terre. L'homme affirme ne pas avoir commis les faits qu'ils lui sont reprochés.
L'accusé a toutefois avoué avoir participé à un certain nombre de vols. Mais, il persiste et signe. Il n'était que le chauffeur.
Ses complices, eux, avancent une tout autre version des faits. Philippe Diavorini serait bel et bien l'homme orchestre, le cerveau de l'affaire.
Anaëlle Edom
Il y a un peu plus d'un an, l'homme avait écopé de 15 années de réclusion criminelle pour "vols à main armée en bande organisée" et "association de malfaiteurs".
Cette fois, selon notre correspondant à Basse-Terre, Pierre Emmanuel, Philippe Diavorini ne conçoit pas de se retrouver en prison. L'accusé ne veut surtout pas payer pour ses comparses.
Jusqu'au vendredi 9 décembre, il devra donc s'expliquer sur son rôle dans une série de vols, datant de 2012, devant les jurés de la cour d'appel de Basse-Terre. L'homme affirme ne pas avoir commis les faits qu'ils lui sont reprochés.
L'accusé a toutefois avoué avoir participé à un certain nombre de vols. Mais, il persiste et signe. Il n'était que le chauffeur.
Ses complices, eux, avancent une tout autre version des faits. Philippe Diavorini serait bel et bien l'homme orchestre, le cerveau de l'affaire.
Anaëlle Edom