39 volontaires guadeloupéens se préparent pour Paris 2024
39 volontaires de l’archipel pour les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 étaient réunis pour la première fois, hier (samedi 9 mars), à Sainte-Rose.
L'événement sportif de l'année sera incontestablement les Jeux olympique, qui se dérouleront du 26 juillet au 11 août, à Paris.
Une fois de plus, la délégation française pourra compter sur la participation de sportifs originaires de notre archipel, mais aussi sur des volontaires, au nombre de 39.
Ils ont été réunis, hier (samedi 9 mars), à la base nautique de Sainte-Rose, par la DRAJES (la Délégation régionale académique à la jeunesse, à l'engagement et aux sports).
Une première rencontre
Il s'agissait d'une première rencontre sur le territoire pour échanger des expériences et surtout entretenir la flamme pour l'événement quadriennal.
Pour Vincent Bihet, chef de projet pour les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, la rencontre de samedi était importante.
L'un des objectifs, c'est de créer un réseau, une équipe de volontaires guadeloupéens. Et pour entretenir ce réseau, c'est important qu'ils puissent se voir fréquemment, s'entraider, se soutenir. C'est aussi le rôle de la Drajes de les mettre en relation et de les rassembler comme ce matin.
Accompagnateurs aux jeux paralympiques
Certains de ces volontaires ont postulé pour servir d'accompagnateurs aux Jeux paralympiques, à l'image de Cédric Simonin. Féru de sport, l'Habissois a expliqué pourquoi il a préféré se rendre disponible pour les Jeux paralympiques.
Je voulais m'inscrire dans quelque chose qui favorisait les relations humaines et, surtout, j'ai cette fibre de vouloir m'inscrire dans quelque chose qui est relatif à l'inclusion des personnes en situation de handicap. C'est pour ça que j'ai décidé de me porter volontaire pour les Jeux paralympiques.
Maïna Bordelais, inconditionnelle des activités sportives, était venue partager l'expérience de son engagement en qualité de volontaire aux Jeux olympiques de Rio, en 2016.
Voir Teddy Riner gagner une médaille d'or olympique, être à côté de sa famille, tout proche dans les gradins, c’est royal. Voir Yannick Borel gagner une médaille d'or olympique et être pareil à côté de sa famille,de ses enfants, c’est ce qui m'a le plus marqué. J'avais postulé pour Tokyo, mais je n'avais pas été prise.