Sommes nous prêts à payer plus cher une tomate locale bio ?
La tomate locale fait l’objet d’une grande étude scientifique. Trois organismes se sont associés pour tenter de mieux comprendre les enjeux de la consommation de tomate en Martinique.
Les Martiniquais sont-ils prêts à payer plus cher pour consommer une tomate locale ? C’est la question que se posent le CIRAD, (le Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement), le Laboratoire Caribéen de Sciences Sociales de l’Université des Antilles et le CNRS (le Centre National de Recherche Scientifique).
L’appel à projets lancé il y a deux ans a débouché sur le choix de deux professeurs d’économie : Angélique Chassy enseigne dans une grande école de management à Caen ; Philippe Bance est professeur sur le Campus de Schoelcher. Tous les deux mènent une enquête combinant les approches agronomiques, économiques et sociales. Ils attendent des Martiniquais qu’ils se manifestent en nombre pour répondre au questionnaire qu’ils ont élaboré et disponible par le lien : Enquête sur l'autonomie alimentaire en Martinique : le cas de la tomate ronde (google.com)
Une vingtaine de minutes sont suffisantes pour répondre à des questions à la portée de tous.