CTM : " une assemblée morcelée sans majorité solide "
L'idée d'une motion de défiance est politiquement et juridiquement possible lors de la plénière de la CTM, selon le politologue Justin Daniel. Ce dernier estime qu'en termes d'opportunité cette action reste sensible étant donné les prochaine échéances politiques.
Aujourd’hui les élus de l’assemblée vont plancher sur 36 points à l’ordre du jour. Parmi eux, le fameux budget supplémentaire qui n’avait convaincu ni opposition, ni même majorité. Ce qui avait poussé l’exécutif à revoir sa copie et surtout à entamer une concertation sur ce dossier. Le document sera soumis au vote des élus ce jeudi 30 juillet.
Durant cette plénière, un nouveau groupe politique pourrait émerger voir s’affirmer et se constituer. Il devrait être mené par Jean-Philippe Nilor qui était jusqu’alors le chef de file du Gran Sanblé. Mais il semble en l’état que personne ne veuille se lancer dans une motion de défiance et donc renverser l’exécutif.
Le politologue, Justin Daniel, notre consultant sur ces thématiques donne quelques éclairages