Une prise d’otage fictive permet aux forces de l’ordre de révéler leurs points faibles
Par Stage
20/05/2016 - 17:53
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:21
Martinique
Une simulation de prise d’otage s’est déroulée ce jeudi 19 mai 2016 au Palais de justice à Fort-de-France. Les policiers et les gendarmes ont travaillé ensemble pour neutraliser les preneurs d’otage de la salle d’audience. Malgré certaines difficultés, les responsables de cet exercice sont plutôt satisfaits du résultat.
Une prise d’otages fictive a eu lieu ce jeudi, 19 mai 2016, dans une salle
d’audience au Palais de Justice de Fort-de-France. Une soixantaine de
policiers et des gendarmes ont été mobilisés pour cet exercice. Un
négociateur a été également sur place. L’assaut final a été donné vers
20:30, après trois heures de négociations.
Certaines difficultés ont apparu lors de l’exercice. Par exemple, la salle opérationnelle a été installée trop près du lieu de la prise d’otage.
C’est la première fois que gendarmerie et police nationales ont travaillé ensemble dans une opération de ce type.
« Les difficultés sont multiples, parce que c’est la première fois qu’on travaille sur ce type de dispositif avec la police nationale. Donc, effectivement il y a des automatismes qui ne sont pas encore mis en place, mais c’est justement le but de l’exercice, à savoir, corriger toutes les erreurs qui pouvaient être faites aujourd’hui », selon le commandant de la gendarmerie en Martinique, le colonel François Agostini.
D’autres exercices identiques auront lieu sur les sites sensibles comme l’aéroport ou encore la centrale EDF au cours de cette année 2016.
Veranika Chyhir et Yvonne Guillon
Certaines difficultés ont apparu lors de l’exercice. Par exemple, la salle opérationnelle a été installée trop près du lieu de la prise d’otage.
C’est la première fois que gendarmerie et police nationales ont travaillé ensemble dans une opération de ce type.
« Les difficultés sont multiples, parce que c’est la première fois qu’on travaille sur ce type de dispositif avec la police nationale. Donc, effectivement il y a des automatismes qui ne sont pas encore mis en place, mais c’est justement le but de l’exercice, à savoir, corriger toutes les erreurs qui pouvaient être faites aujourd’hui », selon le commandant de la gendarmerie en Martinique, le colonel François Agostini.
D’autres exercices identiques auront lieu sur les sites sensibles comme l’aéroport ou encore la centrale EDF au cours de cette année 2016.
Veranika Chyhir et Yvonne Guillon
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