CMT : 5 ambassadeurs pour une campagne de promotion à destination des martiniquais

Par 29/03/2022 - 11:23 • Mis à jour le 29/03/2022 - 12:26

Le CMT a tenu hier (lundi 28 mars) une conférence de presse à la Tour Lumina, à Fort-de-France, pour présenter sa nouvelle campagne.

    CMT : 5 ambassadeurs pour une campagne de promotion à destination des martiniquais
L'équipe réunie par le CMT pour présenter sa nouvelle campagne

« Aimer la Martinique, c'est soutenir un tourisme responsable ». Tel est le slogan de la nouvelle campagne lancée par le Comité Martiniquais du Tourisme. 

Une action de promotion des atouts de l’île à destination des Martiniquais eux-mêmes, pour les inciter à mieux valoriser leur territoire. 

5 ambassadeurs ont été choisis pour incarner ce message autour du développement durable :

  • Thierry Lauzéa, des chocolats Lauzéa
  • Sabine Andrivon-Milton, historienne
  • Renaud Bonard, agriculteur bio 
  • Renée Rose-Ange Victorin, présidente du club Manikou Organisation
  • Aurélia Raymond, étudiante en filière tourisme, lauréate du concours « la travel agent cup » lors du salon Top Résa en 2021.

Une campagne au budget de 150 000 euros, diffusée en télévision, radio et par affichage, sans compter un tout nouveau site internet dédié et une distribution de brochures dans les boîtes aux lettres.

Renaud Bonard, agriculteur bio au Gros-Morne, est l’une des icônes de cette nouvelle campagne du CMT :

Aimer la Martinique, c'est préserver nos productions locales. Elles sont très diversifiées et c'est donc un très bon moyen de découvrir notre pays. L'accueil à la ferme est par ailleurs aussi une façon de découvrir nos paysages, le gigantisme de nos plantes qui impressionnent toujours les gens qui découvrent les régions tropicales. Je me considère comme un militant martiniquais, c'est-à-dire que je souhaite que notre île soit présente sur l'échiquier mondial.

Sabine Andrivon Milton est aussi l'une des ambassadrices de cette nouvelle campagne de sensibilisation aux enjeux touristiques. En tant qu'historienne, elle estime qu'au-delà des sempiternelles plages et du rhum, il faut mettre l'accent sur notre histoire et que les Martiniquais aient la maîtrise du discours associé à leur patrimoine.

Elle s’en explique au micro d’Erika Govindoorazoo. 

 

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