Soupçons autour de LMC : l’enquête continue
Par Warren Chingan
18/05/2016 - 23:06
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:21
Guadeloupe
Les suites de cette affaire révélée par RCI. Les investigations concernant Lucette Michaux-Chevry se poursuivent. La garde à vue des deux chefs d'entreprise a été prolongée ce matin. Dans le même temps, après le domicile de l'ex maire de Basse-Terre hier, le siège de la CASBT a, à son tour, été perquisitionné par les policiers...
Les perquisitions se suivent mais ne se ressemblent pas, aujourd’hui ce
sont les locaux de la CASBT dans le chef lieu qui ont été visés. Les
enquêteurs sont toujours à la recherche d’éventuels documents suspects,
pouvant faire un lien entre les chefs d’entreprises prestataires de la
mairie et/ou de la CASBT et de présumés travaux d’ordre privé au domicile
de la présidente d’agglomération à Gourbeyre. Les intéressés sont en effet
soupçonnés de s’être livrés à des manœuvres financières, en contre partie
d’accord et de l’obtention de marchés publics. Chose donc à faire
vérifier. En tout cas si les fins limiers de la police judiciaire
procèdent depuis hier à ces investigations poussées, c’est qu’il
existerait un faisceau d’indices laissant planer le doute…
Garde à vue prolongée
Les gardes à vue des deux entrepreneurs interpellés mardi ont été prolongée ce matin, on repart donc pour 24 heures d’auditions supplémentaires... Cette nouvelle procédure menée en préliminaire par le parquet de Basse-Terre, ne fait pas directement suite à la première affaire de janvier qui est, elle, entre les mains d'une juge d'instruction. Il existerait cependant des similitudes notamment dans le mode opératoire, les diverses personnes suspectées restent les mêmes et bénéficient bien évidement de la présomption d’innocence…
Garde à vue prolongée
Les gardes à vue des deux entrepreneurs interpellés mardi ont été prolongée ce matin, on repart donc pour 24 heures d’auditions supplémentaires... Cette nouvelle procédure menée en préliminaire par le parquet de Basse-Terre, ne fait pas directement suite à la première affaire de janvier qui est, elle, entre les mains d'une juge d'instruction. Il existerait cependant des similitudes notamment dans le mode opératoire, les diverses personnes suspectées restent les mêmes et bénéficient bien évidement de la présomption d’innocence…
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