CFTC : Jacques Gillot débouté en appel
Par Anaelle EDOM
21/10/2015 - 16:17
• Mis à jour le 18/06/2019 - 15:29
Guadeloupe
Le tribunal de Basse-Terre a une nouvelle fois récusé les accusation de Jacques Gillot à l'encontre de la CFTC. L’homme avait porté plainte pour diffamation contre certains membres du syndicat. Jacques Gillot s'était aussi fait entendre auprès du tribunal suite aux propos tenus par Claude Guillod, le secrétaire général de la CFTC à la télévision.
Mardi 19 octobre, la cour d’appel de Basse-Terre a débouté dans ses deux
arrêts Jacques Gillot, l’ex-président de l’assemblée générale de 2001 à
2015.
Les membres du syndicat la Confédération Française des Travailleurs Chrétiens (CFTC) avaient via un tract, datant du 27 décembre soulevé plusieurs malversations. Selon eux, ces dernières ont eu lieu au sein de la collectivité, sous la mandature de Jacques Gillot.
Face à ces accusations, l’ancien président du conseil départemental avait rétorqué. Il avait attaqué en justice plusieurs membres du syndicat pour diffamation. En février 2015, les syndicalistes avaient été relaxés en première instance.
Le verdict de mardi a été en leur faveur une fois de plus. Pour le tribunal, le contenu du tract ne constitue pas une faute à la charge des auteurs.
En somme, ce délibéré enfonce Jacques Gillot. Mais, surtout il prend une autre dimension. Il met en lumière le caractère douteux de plusieurs emplois au sein de l’assemblée départementale.
On compte, en autres, le recrutement de l’ancien directeur de l’Agence Départementale d’Insertion (ADI). Et ce, sans que l’avis de vacance de poste ait été communiqué au centre de gestion compétent.
Cette même personne a ensuite été engagée par Jacques Gillot en 2012, comme directeur de l’Office de l’eau, sans communication de vacance et également sans l’avis du préfet. Ce collaborateur bénéficiait qui plus est d‘un logement de service.
Jacques Gillot avait aussi recruté un médecin à temps complet. Pourtant, celui-ci avait déjà un emploi à plein temps dans un Ehpad du Puy-de-Dôme.
Dans cette affaire, l’existence de d’autres cas a été soulevée comme l’embauche de la nièce de l’ancien élu à l’ADI ou de sa secrétaire de cabinet médical au conseil général.
Tous éléments semblent donner vie aux reproches formulés par le tract de la CFTC. Mais également à des propos qui avaient été tenus par Claude Guillod à la télévision. Jacques Gillot avait alors porté plainte contre du secrétaire général de la CFDT.
Les membres du syndicat la Confédération Française des Travailleurs Chrétiens (CFTC) avaient via un tract, datant du 27 décembre soulevé plusieurs malversations. Selon eux, ces dernières ont eu lieu au sein de la collectivité, sous la mandature de Jacques Gillot.
Face à ces accusations, l’ancien président du conseil départemental avait rétorqué. Il avait attaqué en justice plusieurs membres du syndicat pour diffamation. En février 2015, les syndicalistes avaient été relaxés en première instance.
Le verdict de mardi a été en leur faveur une fois de plus. Pour le tribunal, le contenu du tract ne constitue pas une faute à la charge des auteurs.
En somme, ce délibéré enfonce Jacques Gillot. Mais, surtout il prend une autre dimension. Il met en lumière le caractère douteux de plusieurs emplois au sein de l’assemblée départementale.
On compte, en autres, le recrutement de l’ancien directeur de l’Agence Départementale d’Insertion (ADI). Et ce, sans que l’avis de vacance de poste ait été communiqué au centre de gestion compétent.
Cette même personne a ensuite été engagée par Jacques Gillot en 2012, comme directeur de l’Office de l’eau, sans communication de vacance et également sans l’avis du préfet. Ce collaborateur bénéficiait qui plus est d‘un logement de service.
Jacques Gillot avait aussi recruté un médecin à temps complet. Pourtant, celui-ci avait déjà un emploi à plein temps dans un Ehpad du Puy-de-Dôme.
Dans cette affaire, l’existence de d’autres cas a été soulevée comme l’embauche de la nièce de l’ancien élu à l’ADI ou de sa secrétaire de cabinet médical au conseil général.
Tous éléments semblent donner vie aux reproches formulés par le tract de la CFTC. Mais également à des propos qui avaient été tenus par Claude Guillod à la télévision. Jacques Gillot avait alors porté plainte contre du secrétaire général de la CFDT.
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