Une nouvelle offre de location de vélo longue durée disponible avec Karu’Vélo
Le SMT, syndicat mixte des Transports étend son offre « Karu’vélo » avec une flotte de vélos à assistance électrique en location longue de 1, 3, 6 mois à un an. Jusqu’à 200 vélos seront disponibles.
C'est un tout nouveau service qui est proposé par le SMT qui cherche à renforcer son offre de location de vélos, qui a déjà son public.
Patrick Rilcy, directeur du SMT.
On s'est rendu compte qu'il fallait doubler ou renforcer cette offre avec de la location longue durée et les proportions sont 80 /20 (nldr : par rapport au nombre de vélos disponibles en libre-service courte durée).
Une offre attractive
Concernant les tarifs, ils vont de 35 euros le mois, 30 euros à prix réduits, à 350 euros l’année ou 300 euros à prix réduit. Le tarif réduit s’appliquant aux étudiants, aux personnes titulaires d’un abonnement Karu’lis, aux demandeurs d’emploi, et aux seniors de +de 65 ans.
Pour l'instant, une centaine de vélos sont à disposition à récupérer auprès du SMT au centre commercial Les Acacias à Baie-Mahault et la réservation se fait en ligne sur le site du SMT.
Il dit "J'ai besoin d'un vélo pour cette durée-là". Il va sur le site internet et il réserve son vélo.
Un vélo que l'on garde chez soi et qui se recharge en 4 heures. Avec ces modèles plus puissants, on peut atteindre les 25 kilomètres/h.
Ils sont plus robustes, ils sont plus confortables, ils sont plus beaux. Ils ont une résistance, une durée d'autonomie de 100 kilomètres.
De quoi permettre d'emprunter les pistes cyclables qui seront bientôt inaugurées, du côté de la Pointe des châteaux à Saint-François, ou encore la piste Lauricisuqe / La Jaille qui ira jusqu’au lycée de Trioncelle.
Une démarche écologique
Enfin, pour Patrick Rilcy, le vélo reste un incontournable pour agir en faveur de la planète.
L'action sur la planète, l'action pour réduire les gaz à effet de serre. C'est par le vélo qu'elle a le plus d'impact. Parce qu'un enfant, un enfant de huit ans, peut commencer à monter à vélo. Plus les enfants iront au collège ou en petites classes à vélo sans que les parents ne les emmènent dans les voitures. Et parfois, pour faire ça, il n'y a pas besoin d'une piste cyclable. Il y a besoin qu'un arrêté municipal réserve une voie. Je pense que la Guadeloupe, qui est quand même une terre de vélo, progressivement la mutation va se faire.
Notez que la Guadeloupe est en train de se doter du schéma des véloroutes qui recense l'ensemble des réalisations et projets pour parcourir le territoire à vélo.
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